«Jurassic World : Le Monde d'après», «Les passagers de la nuit», «Tom Medina»... Les nouveaux films à voir cette semaine

Le dernier volet de la saga du jurassique commencée en 1993, Charlotte Gainsbourg dans le Paris des années 80, ou encore un récit d'apprentissage dans les magnifiques paysages camarguais… Voici les nouveaux films à voir cette semaine.

1 - «Jurassic World : Le Monde d'après»

Alors que les dinosaures vivent en liberté, une grande entreprise menace la Terre.

Dans cette conclusion de la saga inspirée du chef-d'œuvre de l’écrivain Michael Crichton, les dinosaures errent maintenant en liberté à travers le monde. Alors que Claire Dearing (Bryce Dallas Howard) et Owen Grady (Chris Pratt) partent à la recherche de leur fille Maisie (Isabella Sermon), qui a été enlevée, Ellie Sattler (Laura Dern) et Alan Grant (Sam Neill) enquêtent sur la société Biosyn. Un retour attendu du trio mythique du film de 1993.

Plus d'informations sur «Jurassic World : Le Monde d'après»

2 - «Les passagers de la nuit»

Dans les années 80, une femme refait sa vie après le départ de son mari.

Paris, 1981. Elisabeth (Charlotte Gainsbourg) est laissée dans une situation financière délicate par son époux. Sans emploi et mère de deux enfants, elle écrit un courrier à l’émission qu’elle écoute le soir : «Les Passagers de la Nuit». Touchée par sa lettre, sa créatrice (Emmanuelle Béart) lui propose un travail de standardiste. Elisabeth fait la rencontre de Talulah, une âme égarée qu’elle va recueillir comme sa fille. Et voilà sa vie en proie à bien des changements, tandis que dehors la France est en passe d’élire François Mitterrand. Mikhaël Hers dévoile une fable nostalgique où l’histoire individuelle d’Elisabeth rencontre la grande histoire de la France des années 80.

Plus d'informations sur «Les passagers de la nuit»

3 - «Tom Medina»

Tom Medina est envoyé par un juge pour enfant en Camargue.

Sélectionné à Cannes en 2020, présenté en 2021, «Tom Medina» prouve que la direction de Tony Gatlif ne fane pas avec l’âge et se fait toujours plus sensible. En ressort une œuvre sur les blessures de l’adolescence. À l’image du film, les plaies qui n’ont jamais pu cicatriser, sont brutes, parfois inconfortables selon qui les porte, mais fascinantes. Les déambulations du personnage éponyme se détachent des autres récits d’apprentissage par le soin apporté à la photo et au traitement des traumatismes de la migration.

Plus d'informations sur «Tom Medina»

La rédaction vous recommande aussi :