Article27. Mai 2020 Theo Metais
7 films à consommer sans modération avec Steve Carell
Certainement l’un des meilleurs acteurs de sa génération, naviguant entre les registres avec aisance et une maestria bouleversante, le pitre de «The Office» est un acteur rare. Un jeu qui rappelle le merveilleux Robin Williams ou celui de Jim Carrey, alors que Steve Carell sera bientôt à découvrir dans la série évènement Netflix «Space Force», replongeons-nous parmi quelques-uns des meilleurs films avec l’acteur américain.
1 - «Little Miss Sunshine»
La famille Hoover est au plus mal: le père (Greg Kinnear) doute sérieusement car il ne parvient pas à vendre la méthode qu'il a conçue; obsédé sexuel, le grand-père (Alan Arkin) vient de se faire renvoyer pour avoir consommé de la cocaïne; adepte de Nietzsche, le fils a fait voeu de silence dans l'attente d'entrer dans l'Air Force Academy; bien enveloppée et lunetteuse, la petite fille de 7 ans rêve de devenir une reine de beauté; fraîchement plaqué par son amant, l'oncle (Steve Carell) souffre de tendances suicidaires, tandis que la mère (Toni Collette) puritaine tente tant bien que mal de masquer les travers de sa famille et de sauver les apparences. Tout ce beau monde se lance dans un voyage long de 3 jours pour la Californie à bord du vieux break familial, afin que la petite puisse participer à un concours de beauté. Une magnifique comédie!
2 - «The Big Short : Le Casse du siècle»
Wall Street, 2005. Expert en fonds spéculatifs, Michael Blurry (Christian Bale) comprend en analysant le marché de l’immobilier que le système sur lequel repose le pays va s’effondrer. Pris pour un fou par toutes les banques et ses actionnaires, il décide de miser sur cette future crise pour s’enrichir, alors que personne n’est capable d’imaginer un tel cataclysme. Profitant de l’aveuglément généralisé des grosses bandes, des médias et du gouvernement, Steve Eisman, Greg Lippman et Ben Hockett vont eux aussi essayer de profiter de la situation. «The Big Short : Le Casse du siècle» offre une vision édifiante de la crise, s’arme d’humour pour dresser le portrait d’une culture malade; avec Christian Bale, Steve Carrell, Ryan Gosling et Brad Pitt en haut de l’impressionnante affiche.
3 - «Anchorman: The Legend of Ron Burgundy»
Hilarante comédie d’Adam McKay, réalisateur entre autres de l’excellent «Vice», «Anchorman: The Legend of Ron Burgundy» est un plongeon dans la vie facétieuse du présentateur télé, misogyne, conservateur et mégalomane Ron Burgundy (Will Farell) dans les années 70 à San Diego. À ses côtés, les tout aussi déjantés Brian Fantana (Paul Rudd ) ou encore Brick Tamland (Steve Carell), pour une critique burlesque et rocambolesque du paysage audiovisuel américain.
4 - «40 ans, toujours puceau »
Entre une activité professionnelle qui lui sied à merveille, un superbe appartement et des amis qui lui veulent du bien, Andy Sitzer (Steve Carell) conduit une vie tout ce qu'il y a de plus stable, et ce, malgré le fait qu'il n'ait... jamais fait l'amour. Si ce petit détail ne semble aucunement gêner cet élégant quadragénaire, ses amis voient la chose bien différemment. Raison pour laquelle ceux-ci décident un jour de combler cette lacune afin que leur cher ami perde enfin sa virginité. Après plusieurs tentatives infructueuses, Andy va enfin trouver une femme dont il va tomber amoureux. Dommage que cette dernière soit de l'avis suivant: pour qu'une relation fonctionne entre un homme et une femme, il est primordial de retarder le plus longtemps possible la «première fois»...
5 - «Cheney»
Après avoir occupé les postes les plus prestigieux et influents de l’administration américaine depuis 1975, Dick Cheney (Christian Bale) devient le nouveau vice-président des États-Unis le 20 janvier 2001. Un poste symbolique avec lequel le Républicain va mener la politique américaine et devenir l’homme le plus puissant du monde, sans faire de bruit. Dans son sillage, les pantins George W. Bush (Sam Rockwell) et Donald Rumsfeld (Steve Carell).
6 - «Bienvenue à Marwen»
En avril 2000, alors qu'il est dans un bar, Mark Hogancamp (Steve Carell) se fait tabasser par cinq hommes pour avoir avoué qu'il aimait porter des chaussures de femmes. L’homme finira dans le coma et à son réveil, il est victime d'amnésie. Il commence alors à se créer un monde imaginaire avec des figurines représentant ses proches, ses agresseurs ou lui-même et à construire un village miniature nommé Marwen en guise de thérapie.
7 - «Battle of the Sexes»
En 1972, la championne de tennis Billie Jean King (Emma Stone) remporte trois titres du Grand Chelem. Mais loin de se satisfaire de son palmarès, elle s'engage dans un combat pour que les femmes soient aussi respectées que les hommes sur les courts de tennis. C'est alors que l'ancien numéro un mondial Bobby Riggs (Steve Carell), profondément misogyne et provocateur, met Billie Jean au défi de l'affronter en match simple.
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