Assez proche du "dernier samouraï", une dimension un peu fantastique en plus. Bien, on ne s'ennuie pas, mais on ne retiendra pas non plus.

Au vu des critiques que je lis,
il y a BEAUCOUP DE MONDE qui devrait faire autre chose que de poser des commentaires.
Ceci n'est pas un coin de mur sur lequel les canidés ont le droit de marquer leur territoire, c'est un lieu d'aiguillage pour les prochains qui souhaiterait voir un film, afin d'éviter d'être déçus.
Je suis moi-même un vieux routard des arts martiaux. L'histoire des 47 RôNin , la véritable histoire, dépasse de très loin ce film Ô combien spectaculaire mais assez loin de suivre la légende originale qui leur fournit pourtant quelques centaines de milliers de dollars de bénéfices.
Le respect commencerait déjà par suivre la trace de ceux qui nous inspirent.
Mais qui parle de respect, de nos jours ? Ceux qui prétendent voir des valeurs morales dans le meurtre et la vengeance ?
On est encore loin de jouer dans la cour des grands.

Quant aux français qui posent des commentaires, messieurs, votre façon de vous adresser aux gens vous identifie instantanément, bien que l'on parle le même idiome.
Restez donc dans vos contrées, où vous élisez régulièrement des gouverneurs plus misérables les uns que les autres.… Voir plus

En sortant de ce film, dont l'histoire est très forte, on est tout d'abord hanté par Hiroyuki Sanada, le chef des samouraïs, acteur extraordinaire que je ne connaissais pas. Je ne suis pas un féru des thématiques japonaises dans le cinéma, mais ce film a eu un effet déclic, de par la richesse des thèmes, la prédominance du code d'honneur et de ses valeurs ancestrales, son traitement à l'ancienne, et ses scènes fortes. Il manque un je-ne-sais-quoi pour élever les sentiments et l'âme, peut-être un montage parfois hasardeux, ou trop vite expédié sur certains sujets. J'aurais aimé rester une heure de plus dans ce film, cela n'aurait pas été trop long, loin de là, histoire d'explorer plus encore les interactions entre les personnages. A recommander à un large public.

PS : à Telassim : il faut être simple d'esprit pour penser que l'on a le monopole du bon goût et la vérité absolue, surtout quand on a 1 critique au compteur là où d'autres en ont des dizaines ou des centaines. Surtout que le cinéma est question de coeur et de sensibilité, également, et pas uniquement d'esprit. Alors insulter les gens qui apprécient, vous pourriez vous en passer, histoire de ne pas passer pour un arrogant stupide dont on n'a que faire de ses jugements.… Voir plus