Jason Bourne Chine, Royaume-Uni, Etats-Unis 2016 – 123min.
Critique du film
Jason Bourne
Jason Bourne a disparu dans la nature depuis plusieurs années, loin de son pays, après avoir révélé au grand jour les opérations secrètes de la CIA. Dans sa quête pour révéler d’autres secrets du gouvernement américain, Nicki Parsons, l’ex-agent qui l’a aidé par le passé, découvre de nouveaux éléments sur le passé de Bourne. Elle retrouve sa trace pour les lui donner, alors même que la CIA, dirigée par Robert Dewey, lance une opération menée par Harper Lee pour enfin arrêter Jason Bourne...
Jason Bourne : L’héritage, censé relancer la franchise avec Jeremy Renner, était un film d’action insipide et oubliable. Les retours de Matt Damon et Paul Greengrass, réalisateur des meilleurs épisodes (La Mort dans la peau, La Vengeance dans la peau), pour une quatrième aventure inespérée était donc une belle nouvelle. Du moins en théorie. Car au final, le prétexte est bien maigre, et le scénario quasi inexistant se contente de vaguement remettre en jeu le passé du héros (son père) pour justifier son comeback. S’ensuivent deux heures d’action et de suspense très bien emballées par Paul Greengrass, mais désespérément attendues et répétitives. Faute d’une vraie histoire, d’une intrigue qui a quelque chose à offrir et de personnages engageants (hormis celui d’Alicia Vikander, qui se révèlera bien inintéressant que prévu), Jason Bourne version 2016 est donc une suite hautement dispensable, qui cache à peine sa triste tentative de se répéter pour amadouer le public.
Votre note
Commentaires
J'ai eu du plaisir à revoir Jasoon Bourne, mais j'ai trouvé que le scénario était un peu boiteux et manquait de rythme à plusieurs reprises. Sympa mais pas exceptionnel non plus
Film de pure action au scénario rétréci, Jason Bourne ressort de nul part à la recherche de sa mémoire éparpillée au quatre coins des réseaux informatiques. Le film est en roue libre, prolongement sans valeur ajoutée scénaristique et sans réel rebondissement. On retourne dans son passé et on dévoile un nouveau pan de sa vie. La flemme des scénaristes transpire dans le maillot du héro, il aurait lui aussi certainement préférer diminuer de 5 à 10 minutes ses courses poursuites et nous gratifier d'un peu plus de substance narrative.
Reste la démonstration déjà vue, mais virtuose, du big brother informatique mondial, qui est, paraît-il, en dessous de la réalité selon des médias fiables.
A voir pour les fans.… Voir plus
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