Michèle Bowley connaît sa fin. Elle fait face à sa maladie, à l’irrémédiable, à la mort. Elle relève ce défi avec beaucoup de curiosité, à sa façon. Elle nous emmène, en tant que spectateurs et spectatrices, dans ce voyage vers l’inconnu.

« Je collectionne les vies, pas les années », déclare Michèle Bowley. Elle reste fidèle à ce leitmotiv jusqu’à la fin de sa vie. Elle affronte la violence des traitements médicaux. Mais c’est aussi dans le domaine spirituel et dans la nature qu’elle cherche régulièrement de l’aide. C’est ainsi qu’elle trouve la paix, et qu’elle se trouve elle-même. Pour Michèle, la fin de vie est une aventure dans laquelle elle s’engage et qu’elle veut savourer jusqu’à la dernière seconde. «La briseuse de tabou» est une expérience cinématographique empreinte de courage et de confiance dans l’essentiel de notre existence. [Communiqué de presse]

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