Disco France 2008 – 107min.
Résumé
Didier Graindorge, 40 ans, sans emploi et endetté dans une affaire de water-bed, habite dans un quartier populaire du Havre, le Grand-Large, chez sa mère. Il a un fils de huit ans d'une précédente liaison avec une Anglaise. Ce dernier ne viendra en France que si son père lui offre des vacances à l'étranger.
Dans le même temps, Jean-François Jackson, un ancien ami de Didier et son associé « la baronne », viennent de rouvrir la boîte de nuit de leurs jeunesses, (le Gin Fizz) et pour la relancer y organise un concours sur le thème du disco : la Gin Fizz Academy, le premier prix étant un voyage pour deux en Australie.
C'est l'occasion pour Didier de reformer les Bee Kings, le groupe disco auquel il appartenait sous le nom de « Didier Travolta » et avec lequel ils ont gagné des concours de danse durant les années 1980. Il recontacte ses anciens partenaires pour les convaincre de participer au concours. Contrairement à lui, les deux ex-compères travaillent et malgré le fait qu'il n'ont aucun intérêt personnel à y participer, Didier arrive à les embarquer dans ce défi. Après de longues années d'inactivité, Didier contacte une prof de danse de retour de New York, France Navarre, pour qu'elle les aide à retrouver l'aisance d'antan. [Communiqué de presse]
Date de sortie
Romandie: 2 avril 2008
Réalisation
Casting
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Commentaires
Pleins de bonnes intentions... réussies pour un excellent divertissement.
"Camping" du même réalisateur était réussi. Le scénario touchait au vraisemblable, les situations et les acteurs drôles sans être (trop) caricaturales. Ici, on nous repasse les mêmes plats dans un contexte différent. Mais rien n'est crédible : chaque personnage grimace et surjoue à l'instar de Frank Dubosc incapable de mettre de l'émotion sincère dans son rôle de père attentif et qui nous rejoue le français d'en bas ayant du cœur et pas si con, mais à la grosse louche comme si on avait pas bien compris dans "camping". Cela sent la flemme d'écriture. La seule qui s'en sort sans gros dégâts c'est effectivement Emmanuelle Béart. A part cela, on a du plaisir à écouter les tubes discos des années 78-79 en riant de temps à autre.… Voir plus
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