Un organisateur de flash mobs sans le sou et une fille à papa dansent sous le soleil de Miami avant de s'amouracher.

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Tout les oppose: Sean est issu des quartiers pauvres de Miami tandis qu'Emily est la fille d'un promoteur immobilier sans scrupule à la tête d'une fortune colossale. Ils n'ont en commun que leur rêve: la danse. Sean a créé une troupe, le Mob, et organise des mobilisations spectaculaires dans les rues, qui, une fois en ligne sur Youtube, lui offrent une visibilité énorme. Elle, de son côté, a l'été pour réussir son entrée dans une prestigieuse compagnie de danse. En cas d'échec, Emily devra se coltiner un taff relou dans la boîte à papa. C'est alors qu'il va lui apprendre à briser les règles, et qu'elle va le pousser à croire jusqu'au bout en ses rêves. Le jour où le père d'Emily projette de détruire le quartier d'enfance de Sean pour y construire un gigantesque complexe hôtelier, le flash mob va prendre une autre tournure et devenir revendicatif.

Dans Step Up 4, également marketé sous le nom de Sexy Dance Miami Heat, tout est dans le titre: 1) On y danse 2) à Miami, 3) de façon sexy et 4) c'est effectivement torride. A part cela, pas grand chose sous le soleil de Floride. Les rares dialogues du film de Scott Speer viennent confirmer ce dont le spectateur se doutait dès les premières secondes: les protagonistes sont des très bons danseurs, mais pas des acteurs. Amateurs du tuning et des grosses basses, vous allez kiffer!