Les gangsters albanais comptent bien venger leurs frères éliminés par Liam Neeson dans le premier Taken.

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Alors qu'ils enterrent leurs fils et frères, des Albanais jurent de venger leurs morts et de faire couler le sang de celui qui les a tués sur leurs terres. Qu'importe pour eux si le meurtrier en question, un ancien agent de la CIA (Liam Neeson), l'a fait pour sauver sa fille kidnappée (le 1er Taken) par ces mêmes victimes, de leur vivant à la tête d'un réseau de prostitution. A son tour enlevée par cette horde de fous furieux, c'est au tour de la jeune fille d'aider son père à se sortir de cette mauvaise passe, d'autant plus que les ravisseurs détiennent également sa mère...

Entre douilles et grenades, le héros de Taken 2 a des airs de Petit Poucet lorsqu'il parcourt le chemin à l'envers dans les ruelles d'Istanbul, en se repérant grâce au joueur de violon (tourner à droite), aux coups de marteau, (de nouveau à droite) et, encore plus fort, aux chants des oiseaux, pour atteindre son but et la planque de ses ennemis. Plus besoin de GPS donc, Luc Besson et son équipe savent mener le spectateur tout droit vers un énième gros film qui fait boum à tout bout de champ, et qui ne fait rien d'autre.