Une adolescente mi-humaine mi-vampire transmet son savoir à sa meilleure amie.

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Liées par une amitié surnaturelle, Rose et Lissa sont deux adolescentes exceptionnelles. Descendante d’une lignée royale, Lissa est une Moroï, une vampire noble qui cherche encore sa destinée. A moitié humaine, Rose s’est promis de la protéger à tout prix. Ramenées de force dans l’école Saint-Vladimir, elles vont devoir déterminer qui sont leurs vrais ennemis, mais aussi découvrir l’amour et le vrai sens de l’amitié.

Le titre, qui rappelle cette flopée de sous-Scary Movie ridicules qui se nourrissent sur les cadavres du box-office, est un avertissement : Vampire Academy est un nanar. Coincé entre une mythologie tarabiscotée et un humour voulu salvateur, le film de Mark Waters (Lolita malgré moi, bien plus sympathique) échoue à tous les niveaux. Laid, ennuyeux, banal, Vampire Academy mange à tous les râteliers du genre, enchaîne les clichés sans inventivité, et se prend beaucoup trop au sérieux en matière d’action. Et rappelle, après les mauvais Sublimes créatures et The Mortal Instruments, que la course aux nouveaux Harry Potter et Twilight, est un véritable fléau.