Dans une petite ville au bord du fleuve chinois Fuchun vivent les quatre fils de la famille Gu. L'aîné tient un restaurant, le deuxième vit sur un bateau de pêcheur, le troisième est père célibataire et le benjamin est inutile aux yeux de ses grands frères. À l'évanouissement de leur mère le jour de son 70ème anniversaire suivront quatre saisons de changements, de colère et de joie. Semblable à une fresque de la nature chinoise, DWELLING IN THE FUCHUN MOUNTAINS brosse avec élégance et poésie la vie complexe d'une famille qui commence à ressentir ses émotions mais aussi le changement dans la société chinoise. Le premier film de l'autodidacte Gu Xiaogang envoûte avec ses images grandioses et son rythme qui rappellent les maîtres de Taïwan comme Tsai Ming-liang ou Edward Young.

[Text: Zurich Film Festival] [Communiqué de presse]

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