... Pour la fin,... suivez votre intuition... rien d'autre

Je n'ai pas vu le film, mais puisque celui-ci implique une perméabilité protéiforme du temps et de l'espace qui fait que des événements soient déjà survenus alors que nous n'en voyons que les signes annonciateurs, je me sens poussé par une force irrésistible vers ce verdict univoque.

Rien à voir, le vide sidéral dans toute sa splendeur, si vous résistez plus d'une heure à cet expérience, vous pouvez quitter la salle en toute sérénité, le reste est à jeter. Film pour initiés sectaires à genres très particuliers.

Je pense que je donnerais plutôt 4.5 à ce film, pas le meilleur de Lynch, mais, comme d'habitude, les gens sur ce site donnent des notes extrêmes pour influencer directement la moyenne, qui ne correspond du coup plus à la réalité, donc je dois me plier aux règles...

J'ai trouvé "Inland Empire" plus compliqué, peut-être moins réussi, globalement, que "Mulholland Drive", par exemple. Définitivement plus sombre et plus glauque. Trop long, aussi. Un peu dommage qu'il réutilise de manière aussi évidente certains thèmes ou certaines structures (l'actrice à Hollywood, la séparation du film en deux grosses parties traversées par le même personnage principal, la notion de serpent qui se mord la queue, etc.).

Sinon, il y avait quand même des moments excellents. J'ai été étonné de retrouver les charmants Rabbits, qui sont, initialement, une série de huit épisodes (50 minutes en tout, faut les subir !), tournés en 2002 et disponibles sur le site de Lynch...… Voir plus

Ah non pas de 1 svp. Bon chacun pense ce qu'il veut c'est vrai également...

J'ai toujours eu beaucoup d'admiration pour David Lynch. C'est sans aucun doute un des plus grands aujourd'hui. On peut comprendre qu'il ai eu envie de faire un film experimental, d'autres maîtres avant lui (Kubrick, notamment) ont eu ce désir. Ici, néanmoins, on dirait que c'est le film d'un étudiant en première année de cinéma qui essaye de faire un film à la Lynch ! L'image vidéo est moche (même si cela donne un style indéniable) et le récit une caricature des thèmes lynchiens qui ont laissé leur empreinte dans des chef-d'oeuvres comme Blue Velvet, Twin Peaks, Lost Highway ou Mullholland Drive : perméabilité et interpénétration entre fiction et réalité, distorsion du temps et de l'espace, identification et perte d'identité, déambulations labyrintiques dans les méandres de cerveaux malades... Le jeu des comédiens est certes de premier plan, même si on peut se poser la question s'ils savaient ce qu'ils faisaient... mais impossible, en tant que spectateur de participer : peu d'humour, pas d'émotions, juste une grande distance et surtout un ennui infini. Ce film n'aurait probablement jamais rencontré un public si David Lynch ne s'appelaient pas David Lynch. Une inutilité interminable à éviter !… Voir plus

Même si j'avoue avoir décroché à de rares moments, il faut reconnaître que Inland Empire est un monumental coup de boule qui secoue autant le cerveau que les tripes. Torturé, cynique, effrayant et bénéficiant pourtant d'un humour omniprésent jusque dans les dernières notes du générique de fin, ce nouveau pied de nez au conformisme hollywoodien se révèle sans compromis et risque de laisser plus d'un spectateur sur le carreau. Les acteurs sont tous d'une justesse incroyable, les lumières restent d'une maîtrise affolante et la musique accompagne chaque scènes avec brio bien que Angelo Badalamenti ne soit pas du voyage cette fois ci. Au rayon des reproches, on peut regretter une qualité d'image moindre (camera dv oblige...) et peut-être quelque longueurs (ou lenteurs) qui allourdissent un peu le déroulement déjanté de cette descente aux enfers magistrales.… Voir plus

Film-puzzle tout comme le précédent Mulholland Drive... Lynch s'amuse a brouiller les pistes de toutes sortes de facon, encore cette fois en mélangeant le récit du passé et du présent (réel ou imaginaire !) de son personnage principal... Du cinéma pas très cartésien, parfois assez abstrait... mais très rafraichissant comparé a tant de productions ne contenant pas un gramme d'imagination ou de créativité. Inland Empire bouscule, étonne et reste exceptionnel de par sa liberté. Ma préférence va néanmoins à Mulholland Drive, moins "expérimental" et plus abouti.… Voir plus

Affligent, D. Lynch est devenu sénil....

Mon dieu... Mais quel est l'intéret de faire un film comme ça ? Je trouve ça presque irrespectueux envers les gens. Cela veu dire quoi, que seulement un diplomé bac +12 en psycho peut comprendre ce film qui n'a aucun sens à aucun moment !!! Cela fait longtemps que je ne m'étais pas autant ennuyer au ciné... On a même pas le temps de se poser une question, qu'un autre élément plus incompréhensible que le premier surgit de nulle part... Et ça finit par lasser. Bref, rien compris, pas aimé.… Voir plus

J'ai vu les envasions babar et le déclain de l'empir amériquain et cette suite est incompréhensible je préfèr jeremie irons dans le film où il fait l'alleman avec bruce willis. Mais ways tu m'apprens quelque chos parsse que je savai pas que Linch il étais psycologe je croyet qu'il faisai de la médiation transcontinentale.… Voir plus

Qui aurait cru que je décernerais un jour une pareille note à un film...
Mais, là, franchement, il y a erreur sur la marchandise.

Un conseil d'ami, n'allez pas le voir.

Ombre-muraille labirynthikopsychotic tac du cochon. Le paradoxe du comédien version Lynch. Attention, sagrëined s'abstenir (surtout les boweuls).