Très bons acteurs pour un film très moyen.
<br>Digne d'une série B, le fil commence bien mais plus le temps passe et plus on s'attend a quelquechose.. qui ne vient pas.
<br>Pas de retournement, histoire limite banale, pas de frissons, rien a voir avec ce à quoi on aurait pu s'attendre avec de si bons acteurs que sont cassel et Mortensen. La fin n'est pas crédible et décevante.… Voir plus

noir, dur, mais vraiment bien. très belle performance à tous les niveaux! ce film mérite d'être vu.

un grand film raté ou un petit film de valeur... à vous de choisir...

Cronenberg pas sur ses terres. Comme il s'en tire bien le salaud.
<br>Viggo tout tout grand. Les pieds dans le bortsch. Allez-y....

grand fan de cronenberg
<br>j'ai ete tres surpris et decu par le manque de credibilitee du film en general
<br>bien filme , bien joue a part cassel qui me gonfle de plus en plus a force de jouer les memes roles .
<br>on s'ennuie ferme jusqu'a trouver risible certains passages :les truands russes parlent en mauvais anglais etres eux? les gros plans gores inutiles.
<br>vigo mortessen est magistral mais c'est tout ...
<br>quel domage tout ce fric gaspille , trouvez nous des histoires des scenarios pas que de la forme, du fond!
<br>je ne conseillerai pas ce film
<br>j'etait a l'avant premiere aux scalas et
<br>quand je pense que le projectioniste du film nous la presente (sans rire) comme le , sinon l'un des meilleurs films de l'annee , je me questione , tres perplexe ...
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<br>vite oublie , cronenberg reveille toi!
<br>… Voir plus

Si l’on en croyait Semyon, le « roi », ce serait Londres la coupable, responsable de ce qu’est devenu Kirill, son fils unique, « ivrogne et gay », selon les rumeurs qui circulent, bien pire en vérité, pour toute personne dotée de bon sens. Seulement, cette affirmation ne fait que témoigner de l’ignoble lâcheté du maître mafieux, qui n’a d’égal que son machiavélisme implacable. Aussi perfide et dangereux qu’il a de pouvoir, le « roi » incarne à merveille le proverbe « La fin justifie les moyens. », et la fin, avant tout, concerne sa famille, son clan – comme c’est toujours le cas dans les milieux mafieux –, plus particulièrement son enfant qui lui demandera justement beaucoup de moyens et qui, quoique turbulent et irresponsable, demeure son seul espoir post-mortem, c’est-à-dire que soit repris le flambeau par son sang.
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<br>Mais il serait indécent de ne parler, outre de ces deux personnages fabuleusement interprétés, l’un par Armin Mueller-Stahl, l’autre par Vincent Cassel, de Viggo Mortensen, qui stupéfie par son jeu irréprochable, et dont le talent ne cesse, au fil des années, de se diversifier autant que d’impressionner, pour le bonheur des cinéphiles.
<br>Simple chauffeur en apparence, sous lequel se cache un croquemort d’une placidité et d’un sang froid inquiétants, double masque dissimulant un homme encore autrement différent, il ne cessera de tempérer la truculence et les excès du « prince ». Mais il fera mieux : subtilement, avec autant d’adresse que de patience, il le manipulera, cet esprit faible et chaotique.
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<br>Finalement, le véritable maître, c’est le simple chauffeur, auquel même un délicat baiser échangé avec Anna Ivanovna – Naomi Watts – ne parviendra à arracher les secrets.
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<br>Si le long métrage débute par deux séquences horrifiques, fruits de la malfaisance, de la bestialité des père et fils mafieux, il s’achève par un plan centré sur Nikolai – Mortensen – et la voix off de la jeune victime des premiers. Le mal, totalitaire et omnipotent dans les premiers temps, se voit châtié en fin de compte, mais est-ce le bien qui triomphe ? Loin d’en être sûr. Nikolai fume pensivement sa cigarette, accompagné par la voix de la défunte, lui irrémédiablement meurtri, elle détruite. Il n’y a guère de vainqueurs, pas plus de perdants, juste un espoir, ayant survécu à la tempête : un nouveau-né. Le film s’éteint sur une note morose et délicate. L’œuvre fait durablement réfléchir.
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<br>Réussite absolue pour monsieur Cronenberg.… Voir plus

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