Tokyo Sonata Hong-Kong, Japon, Pays-Bas 2008 – 119min.
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Commentaires
Ce film est d'un réalisme et d'une honêteté prenante. Les acteurs y sont d'une exceptionnelle finesse. Seul bémol: la fin, que je ne décrirai pas, mais que je trouve, bien qu'émouvante, trop proche d'un conte de fée, trop naïve ou miraculeuse, ne cadrant pas avec l'ensemble. Cependant, j'ai adoré.… Voir plus
Réaliste, glaçant, terrifiant, violent, ennuyeux, drôle, bouleversant... Mes sentiments durant la projection...
Au début du film, tout semble parfaitement banal, je ne me suis pas spécialement laissée emporté par cette première partie. Portait de chaque membre de la famille ainsi que l'atmosphère qui réside à la maison. La femme qui paraît parfaitement soumise,toujours accueillante,qui est présente la plupart du temps dans son contexte domestique, semble être satisfaite de sa vie. Je considère que la trame du film
<br>se dévoile dès le changement de travail du père...A ce moment là, le film m'emporte et nous fait voyager dans le tumulte des émotions. Un film très fort avec une fin éblouissante!… Voir plus
Ce film exprime parfaitement le poids des convenances et coutumes ancestrales du Japon, qui survivent en l'an 2000. Ces attentes anachroniques brise cette famille où l'on attend tout des hommes, eux-mêmes broyés par la société mercantile. Mais l'amour d'une mère, et la passion de la musique permettra à chacun de trouver sa voie ... une vraie perle:bow::oops::)… Voir plus
Koji Yakusho a ici un petit rôle. En fin de film (celui du "voleur"). Son personnage détonne et le jeu de Koji étonne. D'autant que Koji est de presque tout les films de Kurosawa, souvent dans le rôle principale. Comme un double du cinéaste (même génération en tout cas). Ce drôle de jeu, ce drôle de moment (le personnage disparaît aussi subitement et aussi grotesquement qu'il est apparu), il faut en profiter et le prendre pour ce qu'il est. Une parenthèse subtilement burlesque, offrant comme un commentaire ironique à ce que se joue par ailleurs. Une offrande.… Voir plus
L'apparente banalité de la description d'une vie de famille. Une petite maison dans la banlieue de Tokyo (?). Un père cadre moyen-supérieur. Deux enfants. Mère aimante. Tout va bien! Sauf que. Sauf que non. Le film est là, dans ce sauf que non. Et là encore, à priori rien que de très banal, mais c'est dans la finesse de la description de ce monde qui petit à petit s'écroule que le film est grand. Bien plus encore: c'est la dans la finesse et l'assurance d'une mise en scène souveraine que le film nous prend à la gorge et nous fait croire, sortant de la salle, que l'on est, peut-être, un peu plus intelligent... (?)
<br>Une émotion de la réflexion mais qui n'interdit pas celle du ventre (ou du coeur), pour preuve la fin: qu'on la voit ironique ou premier degré pas moyen de résister.
<br>Et puis: on sait le film fini il y a plusieurs mois, on se doute qu'il a été tourné encore quelques mois avant, et pourtant pas moyen de ne pas le voir aujourd'hui (avril 2009) comme un exact contemporain d'une certaine crise actuelle (mais oui: faillite ou d'une moins déséquilibre notoire d'un monde - pour aller vite: celui de la finance). Ce n'est que la "preuve" à notre goût de l'excellence du film: cette clairvoyance. Et, encore une fois, très finement exposée.
<br>Encore une chose: oui bravo au cac, bravo surtout au distributeur (enfin! un "vrai" distributeur pour un cinéaste parmi les plus stimulant du cinéma d'aujourd'hui - mais tout de même des questions: pourquoi pas les autres (films)?, pourquoi pas plus de séance (pour ce film)?). A défaut de mieux, précipitez-vous sur les dvds disponible: Kairo, Charisma, Cure. Surtout ces trois-là, dans cet ordre, et les quelques autres qui existent.
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L'apparente banalité de la description d'une vie de famille. Une petite maison dans la banlieue de Tokyo (?). Un père cadre moyen-supérieur. Deux enfants. Mère aimante. Tout va bien! Sauf que. Sauf que non. Le film est là, dans ce sauf que non. Et là encore, à priori rien que de très banal, mais c'est dans la finesse de la description de ce monde qui petit à petit s'écroule que le film est grand. Bien plus encore: c'est la dans la finesse et l'assurance d'une mise en scène souveraine que le film nous prend à la gorge et nous fait croire, sortant de la salle, que l'on est, peut-être, un peu plus intelligent... (?)
<br>Une émotion de la réflexion mais qui n'interdit pas celle du ventre (ou du coeur), pour preuve la fin: qu'on la voit ironique ou premier degré pas moyen de résister.
<br>Et puis: on sait le film fini il y a plusieurs mois, on se doute qu'il a été tourné encore quelques mois avant, et pourtant pas moyen de ne pas le voir aujourd'hui (avril 2009) comme un exact contemporain d'une certaine crise actuelle (mais oui: faillite ou d'une moins déséquilibre notoire d'un monde - pour aller vite: celui de la finance). Ce n'est que la "preuve" à notre goût de l'excellence du film: cette clairvoyance. Et, encore une fois, très finement exposée.
<br>Encore une chose: oui bravo au cac, bravo surtout au distributeur (enfin! un "vrai" distributeur pour un cinéaste parmi les plus stimulant du cinéma d'aujourd'hui - mais tout de même des questions: pourquoi pas les autres (films)?, pourquoi pas plus de séance (pour ce film)?). A défaut de mieux, précipitez-vous sur les dvds disponible: Kairo, Charisma, Cure. Surtout ces trois-là, dans cet ordre, et les quelques autres qui existent.
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Film japonais par Un Autre Kurosawa, très japonais et c'est cela que j'adore dans ce film ... Une Maman aimante et exemplaire, des hommes pas trop géniaux et assez lâches ...
<br>je ne connais pas les codes japonais, mais on imagine facilement que c'est bien différent! film sur une désintégration familiale, film quelques fois dur, mais Le Ptit Dernier, aime le piano et c'est un peu Lui qui sauve La Famille du naufrage ! " superbe"… Voir plus
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