l'on est pas seul...
A méditer et aidons les, si on le peut

J'ai vu ce film au festival des Visions du Réel à Nyon, et la salle était pleine. Tout le monde, je crois, s'est amusé pendant le film. Chacun s'y reconnaîtra, un peu, beaucoup... Un sujet léger (mais pas tant que ça finalement), et bien traité, c'est rare. Alors ne boudons pas notre plaisir!… Voir plus

J'ai été "bluffée" par la solitude de ces trentenaires y compris masculins due aux déceptions amoureuses.Peu y ont montré un véritable choix.
<br>Autrement ce documentaire ne casse pas des barreaux de chaise, mais nettement plus instructif que certaines méga-productions complètement nulles - elles.… Voir plus

apparemment Alexis28 et Niki14 sont une seule et même personne. Deux nouveaux profils pour descendre un film. Voilà quelqu'un qui en veut à celui-ci.
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<br>J'ai pas vu donc je ne peux pas juger.

Le film n’a laissé aucune trace dans mon esprit si ce n’est pour me rappeler sa réalisation maladroite et irréfléchie. Le réalisateur met péniblement en scène une galerie de personnages qui, chacun leur tour, tente d’exprimer leur difficile célibat. Seul problème, la mentalité genevoise semble les avoir complètement imprégnés : aucun propos intéressant n’est tenu (si ce n’est parfois de la part d’une enseignante). Les discussions superficielles se succèdent sans une once de réflexion ou d’analyse. Baillif n’a pas su mener sa barque, peut-être n’en avait-il tout simplement pas. Cela expliquerait sans doute ces discours insipides dépourvus de problématisation et de direction.
<br>Le film laisse un arrière goût amer de la cité de Calvin. Les gens s’expriment dans une langue d’une pauvreté infinie et manquent cruellement d’enthousiasme. Si le décor de la ville n’est pas familier au spectateur, celui-ci n’aura certainement rien à quoi se raccrocher.
<br>Documentaire inexportable qui n’a même pas l’envergure d’un court-métrage.
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Documentaire d’une rare platitude. Des personnages tous aussi amorphes les uns que les autres qui s’enlisent dans des dialogues ras les pâquerettes le tout baignant dans une atmosphère pseudo intimiste. Les dialogues sont à peu près aussi plombants que le stratus hivernal genevois. Le plus navrant est de voir les vraies problématiques relatives au célibat soigneusement esquivées, sans doute par paresse. En résumé : s’ils ne savent pas pourquoi ils sont seuls, nous on sait. Sale temps pour les Bobos….… Voir plus

Bravo à Baillif ! Enfin du cinéma suisse de qualité.
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<br>Si bien tourné que le documentaire en devient presque fiction.
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<br>On aimerait avoir le texte des réflexions, si riches, si profondes, si vraies...
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<br>Merci !

En prenant un sujet banal, vu et revu par les brèves de comptoir et les plateaux de télévision, Frédéric Baillif dépasse la banalité, puisqu’il s’implique pour mieux entraîner les autres célibataires dans son jeu de la vérité.