Cosmopolis Canada, France, Italie, Portugal 2012 – 102min.
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Commentaires
Terrible daube, longue et vide comme la limousine d'un Wall Street boy, cousue de dialogues ridicules qui s'efforcent de paraître importants. Faudrait relire, mais ça pousse même à se (re)dire que Don DeLillo, auquel on a cru très fort dans les années 90, n'a pas passé le cap de l'an 2000.
si vous voulez voir de longs dialogues en plan fixe, qui ne finissent pas, sur un sujet pseudo intello genre les riches contre les pauvres bla bla bla...alors c est votre film, sinon il ne se passe rien, juste des acteurs plutot bons...autant lire le livre dont le film est tire
C'est la première fois que pendant un film je suis partie avant la fin. <br>Je ne suis peut-être pas très objective étant donné que le milieu de l'économie et de la finance ne me sont pas familiers mais j'ai trouvé ce film très spécial. Il faut s'accrocher pour comprendre tous les dialogues et comprendre l'hisoire en général. <br>Durant la première heure tout se joue dans une limousine, Robert Pattinson n'y sort presque jamais et plusieurs personnes à tour de rôle y passent un moment. <br>L'ambiance est morose et les dialogues monotones.<br>… Voir plus
Cette descente dans l'enfer du capitalisme avait tout de la brillante métaphore. Hélas, le film s'enlise dans des logorrhées usantes peinant au final à nous captiver.
Cronenberg est l'un des rares réalisateurs qui m'envoûte, quel que soit le sujet, et quel que soit le traitement. Bien sûr, il y a des films qui m'ont moins marqué, mais je souhaitais ardemment le retrouver dans un registre plus 'alternatif', plus déjanté.
<br>Cosmopolis, c'est un peu 'Une Histoire Vraie' de Lynch, en version plus urbaine et plus friquée. Remplacez le motoculteur par une limousine, et le vieux plein de sagesse par un jeune qui va vivre une journée 'initiatique', façon Herman Hesse. Ajoutez-y un soupçon de nihilisme, des métaphores qui prennent corps et une atmosphère glaciale, cérébrale, où les dialogues, creux, calmes ou réflectifs, souvent introspectifs, et illusoirement profond, donnent le tempo.
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<br>Clair que la dimension philosophique peut désarçonner, et qu'il vaut mieux aller voir ce film en étant totalement désabusé après une belle journée de m... (un lendemain de vraie cuite peut aussi faire l'affaire).
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<br>Mention spéciale à Sarah Gadon, envoutante, et Robert Pattinson, que je découvre à travers ce film.
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C'est un Cronenberg, donc on est forcément avertis lorsque l'on entre dans la salle de cinéma... On suit l'acteur le long de son périple, dans sa limousine, à travers les rues de New-York un jour de gros embouteillages. Le film nous met nez à nez avec notre société de consommation et les réflexions sont pertinentes mais ce que je n'ai pas apprécié, c'est cette façon de vouloir à tout prix choquer le spectateur; et pour ma part, c'est réussi! Des scènes un peu trop crues à mon goût et finalement sans intérêt...… Voir plus
Un film lent, assommant, agrémenté de réflexions insipides et insignifiantes pour le plus grand malheur du spectateur. Les 3/4 du film se déroulent dans une limousine et nous font suivre les périgrinations d'un mec passif au possible. Je pense que je ne suis pas le seul à avoir pensé cela, car la moitié de la salle (c-à-d. 6 personnes) ont quitté la salle à la moitié du film. Je suis personnellement resté jusqu'au bout pour attendre le dénouement final, qui s'est avéré aussi plat que le reste...… Voir plus
Un très bon film très fidèle au roman de Delilo. Absolument magnifique. Une esthétique qui rappelle certaines photos de Jeff Wall. Une lenteur express. Une mollesse intraitable. Grand!
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