Des bonnes idées et quelques répliques savoureuses, mais, malheureusement, le film perd rapidement son rythme et même son identité sur la fin. Karin Viard est, comme presque toujours, très juste dans son rôle, et rattrape le film comme elle peut. Pour ce qui est de la vulgarité, ça ne m'a personnellement pas particulièrement dérangé. Oui, certains dialogues sont crus. Et après ? J'imagine tout à fait certaines amis quarantenaires parler comme ça entre elles. En bref, sans être un ratage complet, un film assez dispensable.… Voir plus

Voici une comédie rafraîchissante au possible????????
Je suis désolé de contredire certains critiques mais moi j'ai senti que les comédiens étaient tous géniaux et que je me suis farci un sacré moment de rigolade comme je n'en n'avait plus connu depuis un sacré moment et en plus ,cerise sur le gâteau ,Mr Danny Boon est bien meilleur et bien acteur lorsqu'il ne joue pas trop de ses mimiques comme dans chtis.

Moi perso,je vous le conseille car pas ennuyé une seconde ,il y a toujours de sacrées vannes lancées entre les personnages et la réalisation est géniale .

Moi je dis milles mercis à Julie delpy pour son film revigorant et très humain , de notre époque ,quoi .

Bravo et 5/5????… Voir plus

L'abeille coule... sauvée de la noyade de justesse par Dany Boon (et encore), mais surtout par Karin Viard.
C'est décidé, je n'irai plus voir un film avec Julie Delpy et encore moins de elle. Zéro pointé aussi pour Vincent Lacoste. Mon Dieu ce que ces deux jouent mal... Et sur le scénario, un foetus aurait pu faire mieux. A fuir!… Voir plus

Il y a des films qui peuvent se réduire à une bande annonce s’efforçant de concentrer de manière percutante sur quelques minutes ce qu’ils ont de meilleur. Une fois dilués en un format long, ils perdent toute saveur. Bienvenue au club, très cher "Lolo" ! En pleine crise de la quarantaine, Violette, la Parisienne, tombe sous le charme gentil de Jean-René, le Biarrot, qui ne tarde pas à la rejoindre dans la capitale. Mais la présence de ce nouvel intrus dans l’existence de sa "mamounette" ne va guère ravir Eloi, dit "Lolo", prêt à tous les coups bas pour pervertir le couple. Julie Delpy avait su nous amuser grâce au côté foutraque de l’autofiction dans son diptyque interculturel Two days in… Elle séduisait également par sa grâce et sa spontanéité dans la trilogie américaine des Before de Richard Linklater. Hélas, trois fois hélas, il ne reste ici plus grand-chose à se mettre sous la dent. Sa confrontation grinçante entre parents et enfants, Paris et province, bobo et popu, manque cruellement de sel et d’inventivité. Les situations au goût de déjà-vu se succèdent et alternent entre gags insipides et dialogues vite grossiers. Quitte à nous proposer une nouvelle déclinaison de Tanguy, autant y aller franchement dans la méchanceté. Les comédiens plutôt bons n’évitent cependant pas l’embourbement. On soupire et s’impatiente. Seul l’ultime renversement laisse quelques espoirs, vite refroidis par le générique final. Raté, encore raté.

Pensée du jour : Tanguy est de retour à la maison et il n’est pas content.

5/10
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Comédie sympa. Acteurs excellents, dialogues croustillants.

Aucun intérêt, franchement. Pas marrant, pas plaisant, pas prenant... Deux heures de perdues.