C'est un navet bien sûr mais avec quelques bons moments lorsque Reno & Clavier veulent bien s'arrêter de vociférer. Je ne sais pas si c'est la franchise qui veut ça ou alors le jeu de Clavier ou si c'est la marque du réalisateur, qui a l'air de penser qu'il faut crier pour se faire entendre, mais par moment ces vociférations sont insupportables. J'ai quand même apprécié la restitution crédible de l'ambiance de la RF ainsi que le jeu et la variété des seconds rôles.… Voir plus

Un navet et encore je suis gentil...

Bof...
Je n'ai pas voulu suivre les conseils de celles et ceux qui étaient déjà allé voir ce film, grave erreur!
Il est rare que je m'ennuie au cinéma, mais là, j'étais à 2 doigts de partir avant la fin...
Même la présence sympathique de Franck Dubosc, Ary Abittan et Sylvie Testud n'ont pas suffit à sauver un tant soit peu ce volet de trop!
Dommage...… Voir plus

Film absolument pas révolutionnaire...film plutôt dans le genre monoculture de navets..les navets sont rarement bons..et ceux des visiteurs 3, sont particulièrement indigestes..à éviter à tout prix..

Quel Navet! Pas étonnant avec toute cette brochette de légumes!
Représentatif du cinéma français, plus on en met ensemble ou en scène plus variée est la ratatouille !
A éviter cette comédie qui n'en a rien d'une...

Un désastre cataclysmique.

Ce film m'a déçue comparé aux autres volets, on a quasiment jamais ri pendant le film au cinéma dommage!!!

Les décors sont réussis... on aurait pu en rester là: tout le reste est nul.

Pensée du jour : Qu’on leur coupe la tête !

Erreur d’aiguillage pour le comte Godefroy de Montmirail et son acolyte Jacquouille. Dans leur voyage temporel et maudit, ils se retrouvent parachutés en plein cœur de la Terreur révolutionnaire. Entre l’autorité de Robespierre, l’outrecuidance des aristos en fuite et la fougue vindicative des sans-culottes, il leur faudra se frayer un chemin pour retrouver l’Enchanteur, seul capable de les renvoyer à la maison… ou pas.

"Deux c’est assez, trois c’est trop !". L’expression qui ne prend pas en compte le désastre américain de la série parle d’elle-même. Les Visiteurs, chapitre premier, avait marqué en son temps, par un humour de contraste plutôt malin et des expressions vite devenues cultes. Qu’en reste-t-il vingt-trois longues années après ? Un Reno fatigué, écrasé par un lourdingue Clavier jouant sa partition si fort qu’il provoque une hystérie collective. Les nouveaux venus, porteurs d’espoirs vite déçus, semblent dans l’obligation de surjouer afin de se faire entendre dans cette cacophonie assommante et insensée. Karin Viard, Alex Lutz – la reine Catherine du Petit Journal –, Sylvie Testud et tous les autres se noient dans un scénario informe et sans saveur si ce n’est celle d’une scatologie répugnante – heureusement que le cinéma olfactif n’est encore qu’une lointaine utopie. Pipi, caca, pu… Voilà donc la "franchouille" indigeste qu’on nous jette à la figure ! Coincé dans les couloirs de la perte de temps, le spectateur de plus de sept ans ne peut que s’effondrer devant un spectacle aussi navrant. D’autant plus que l’opportunisme commercial de l’entreprise fait augurer un prochain épisode sis dans le monde des grands blonds aux yeux bleus affublés d’une petite moustache. Afin d’éviter de faire pire que le pire, qu’on leur coupe la tête à ces Visiteurs et qu’ils se taisent à jamais !

2/10
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Ni le binz, ni Okayyy!
La saga des visiteurs se résumé en une merveille avec le premier film, une frustration avec le second excellent dans son premier tiers et son ultime scène (directement liée a l'opus du jour) et un désastre avec l'insipide remake. La méfiance et le pessimisme étaient plutôt de mise, mais il faut reconnaître que le tout est moins pire que prévu.
Le point positif: nous vivons la Révolution française tel un vaudeville : certains personnages célèbres tant historiques que fictifs y sont représentés sous un regard assez amusant (notamment le descendant de Jacquouille ou plutôt aïeul de Jaccard) et la représentation de deux célèbres révolutionnaires est assez proche des personnages originaux. Et puis, il y a l'ultime séquence, nouvelle étape des Couloirs du temps.
Le hic, certes moins conséquent que les deux derniers opus: Jacquouille et Godefroy apparaissent plus comme des marionnettes que des personnages. Le film vaut surtout par les autres personnages mais eux deux semblent perdus et complètement absents, si ce n'est par les sempiternelles répliques qui ne font plus rire.
A vous de juger...… Voir plus