Barbie Etats-Unis 2023 – 114min.
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Commentaires
Une bouffée d'air pur et frais n'en déplaise aux MACHIS DE MES 2
Voici une œuvre intelligente, avec un scénario crescendo, des questions sociétales cruciales encore +aujourd'hui qu'hier
Rien ne change vraiment dans ces carquants machistes puanrs qui traitent la femme du 21e siècle encore pire qu'il y a 50 ans
Les preuves :dans les pays religieux, comme par hasard le monde du travail encore beaucoup trop régi par L'HOMME dans toute sa splendeur et décadence puantes à l'excés.
Enfin bref vivement un monde libéré des idéologies machistes, dictées par des religieux fanatiques tout comme le patriarcat en général car sous le soit disant changement et prise de conscience masculine gronde plus que jamais la haine et LA PEUR QUE LA FEMME INSPIRE À TOUTES CES COMMUNAUTÉS RELIGIEUSES, ET J'INSISTE LÀ DESSUS CAR TOUT VIENT DE LÀ ET DES CROYANCES, DES ÉCRITS D'HOMMES D'UN AUTRE ÂGE (BIBLE, ETC) ,
C'est pour ça que nous tou.t.e.s devons nous battre encore plus afin que l'homme et son fonctionnement fassent un rétropédalage plus que salutaire pour toutes les femmes, filles, jeunes hommes, garçons du monde entier
VOILÀ LA SEULE ET UNIQUE VOIE À SUIVRE CELLE DU CŒUR
MESSIEURS IL EST TEMPS QUE NOUS PRENIONS NIS RESPONSABLILTÉS D'êtres humains et non d'hommes.
Ouvrons et set écoutons beaucoup plus nos ♥️❤️💕🤗💗💓 au lieu de nos têtes
CQFD
Et ça changera tout… Voir plus
Durant les premières 20 minutes j'ai failli me lever et quitter la salle. C'était ennuyeux au possible et le nom de Barbie me sortait déjà par les oreilles. J'avais le sentiment de n'entendre que ce prénom...et pas d'autres dialogues. Bref, c'est l'idée de cette "membrane" franchie entre le monde irréel au réel qui m'a interpelé et qui a fait que je suis resté durant le 80 autres minutes. Bonne idée ce qui amène a une réflexion sociale sur la place des hommes et des femmes. Maintenant je doute que les enfants aient vraiment compris le message. Margot Robbie est parfaite et Ryan Gosling est très bien mais kitch, mais c'est Ken, donc..... Dans tous les cas ce film n'est pas un chef d'oeuvre, même si les entrées tenteront à nous faire croire le contraire. (F-07.08.23)… Voir plus
“La vie en rose”
Qu’il fait bon vivre à Barbieland, matriarcat construit sur du plastique fuchsia. Mais il y a quelque chose de pourri dans le royaume. En pleine crise existentielle, Barbie pense à la mort, remarque de la cellulite sur ses cuisses et se retrouve un matin avec les pieds plats. Beurk ! Elle n’a plus le choix. Il lui faut chausser des « Birkenstocks » et trouver la raison de son malheur dans le monde réel.
Un film sur la célébrissime poupée mannequin ? Le regard a priori s’en détourne. Mais quand le casting se joue entre Margot Robbie et Ryan Gosling, duo talentueux et pas insensible au cinéma indépendant, un œil s’ouvre grand. Puis quand apparaît le nom de Greta Gerwig en tant que réalisatrice, on se dit qu’il y a « une louve ». La Lady Bird aux commandes, secondée par son partenaire de choix Noah Baumbach, ne laissera certainement pas au vestiaire son atypisme et ses élans féministes pour jouer à la poupée. La maison-mère n’a qu’à bien se tenir…
Nous voilà confortés dès la scène inaugurale, pastiche de 2001, l’odyssée de l’espace. Sur la fameuse musique de Strauss, les fillettes cajolant leurs poupons de cire ou de porcelaine ont remplacé les singes. Tel le monolithe noir, la première Barbie, géante, leur apparaît coiffée et habillée comme à l’époque. Un clin d’œil suffit à leur faire comprendre que leur destinée ne se résume pas à devenir mère. Docteure, astronaute, cheffe de chantier, éboueuse, présidente ou prix Nobel, c’est un arc-en-ciel inclusif de possibles qui s’offre à elles désormais. Mais dans le vrai monde, en proie aux anxiolytiques, les dimensions surréelles de la Pink Lady finissent par créer mal-être et frustrations. Dans un argumentaire implacable, Barbie se voit démolie et traitée de « facho ». Quant à Ken, son bouffon, il y découvre l’origine du mâle. Une nouvelle guerre des sexes est-elle à déclarer ?
En équilibre sur une corde raide tendue entre hommage appuyé et déstructuration du mythe, Gerwig évite la chute. Son mélange de kitsch délicieusement provocant – comment aborder par exemple l’absence des parties génitales de la poupée ? – donne au film un goût de bonbon acidulé. Bourré de références pas toujours saisies, musical, drôle et impertinent, il permet à Mattel de faire l’étalage de ses produits tout en jouant à fond la carte de l’autodérision. Avec Will Ferrell au sommet de la tour, difficile de garder son sérieux. Bénéficiant d’un marketing monstrueusement efficace, Barbie, ringardisée il n’y a pas si longtemps, redevient un phénomène de masse. On connaît la chanson et se laisse bercer par ces belles paroles : « Oh la la la vie en rose. Le rose qu’on nous propose… Que des choses ‘très’ commerciales. »
(7/10)… Voir plus
Dernière modification il y a 1 an
Il y a des passages sympas comme la Barbie moche qui s’est fait gribouiller le visage et couper les cheveux par une petite fille, les différentes tenues et accessoires de Barbie à travers les âges et certaines situations cocasses quand Barbie se rend dans le «real world » mais sinon j’aurais pu attendre de la voir à la TV. La séquence ou Ken chante et danse est carrément ennuyeuse. Margot Robbie est parfaite et canon pour le rôle.… Voir plus
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