Le roi lion Etats-Unis 2019 – 118min.
Cineman Movie Charts
Votre note
Commentaires
L’adaptation du dessin animé au filme a été réussie avec succès. Les parties culte sont respectée et rien n’a été bâclé. Je recommande
“RRRrrrr!!!”
La savane entière s’incline devant le petit Simba, fils de Mufasa et futur roi lion. Dans l’ombre, l’oncle Scar lui prédit un autre destin.
La technologie inédite ne peut qu’impressionner. L’effet de réel est tel qu’un temps d’adaptation s’avère presque nécessaire. Entre le film d’animation et le documentaire animalier, la frontière disparaît. Ainsi, la gêne opère quelque peu quand l’animal devient clown ou se met à fredonner. Mais on rugit aussi d’un plaisir nostalgique qui nous ramène 25 ans plus tôt, quand le 43e long-métrage de Disney marque toute une génération. Afin de se rapprocher au plus près de l’original, toute envolée créative est évitée en faveur d’une fidélité plan par plan. Si la musique et les chansons ont été réenregistrées, avec l’ajout « spirituel » de Beyonce pour juste briguer l’Oscar, rythmes et paroles sont les mêmes. Pas de quoi bouleverser un public d’habitués qui aura l’impression de feuilleter le bel album photo d’un safari fastueux tiré sur du papier glacé.
6.5/10
twitter.com/cinefilik
cinefilik.wordpress.com… Voir plus
Ce film est un dessin animé ! Prouesse technique que cette version du Roi Lion mais si parfaite que ça m'ennuie de ne pas avoir retrouvé totalement la magie de l'original datant de 1994 et surtout celle de la musique. A part ça, la version française et à part la voix inégalable de Jean Reno, le doublage me semble inadapté. Mais bon je suis peut-être trop nostalgique. Malgré tout c'est un beau film et il est à découvrir pour toutes les nouvelles générations. (F-25.07.19)… Voir plus
3.5: La plume et le sang
Simba vient au monde en étant appelé à succéder à son père Mufasa, roi de la montagne sacrée. C’est sans compter sur son oncle Scar, avide de pouvoir et désireux de monter sur le trône.
Le voici donc ce moment à la fois attendu et redouté par tous les fans de ce qui est, pour moi, le plus beau film Disney. Sentiments fondés.
Les quarante-cinq premières minutes nous font effectivement craindre le pire: à l’image de the circle of life, il y manque une émotion globale absolue, que ce soit l’émerveillement, l’effroi ou la haine. Et l’on craint le pire... jus qu’à ce qu’une « plume » vienne nous ôter tout sentiment de doute et, à l’image de Rafiki (mon personnage préféré), nous rappeler ce que ce film était.
L’animatronic quasi désastreuse durant ces 45 minutes initiales est en effet oubliée par cette séquence inédite et l’arrivée de Timon et Pumba, ainsi qu’une sérieuse amélioration sur Zazu, va nous rassurer et même sans doute nous émouvoir sur la déclaration d’amour de Rafiki en sa patrie (superbe représentation du souvenir paternel) et le souvenir de qui est Simba.
La musique identique ne nous procure pas d’émotion particulière (en VO), à deux exceptions : can you feel the love tonight version film et surtout, durant le générique final, la plus belle chanson de la comédie musicale éponyme servie par son plus bel ambassadeur. Et du coup, mon regret personnel de ne pas avoir eu une version cinéma du magnifique spectacle londonien en est quelque peu dissipé.
Se laisse donc voir… Voir plus
Vous devez vous identifier pour déposer vos commentaires.
Login & Enregistrement