Everything Everywhere All at Once Etats-Unis 2022 – 140min.
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Commentaires
J'ai adorée, décalé mais se prenant au sérieux ce qui devient malheureusement rare, une excellente mise en scènes.
j’ai aimé les boums boums et les scène trop malsaines avec les mains hot-dog
Archi nul.
Un scenario sans queue ni tête, énormément de scènes de violences gratuites. Beaucoup d effets spéciaux certes, des sexes géants, des mains en forme de hot dogs, des passages d'un univers à l'autre sans qu'on comprenne vraiment pourquoi... tout ça pour traiter du thème de la relation entre une mère et sa fille homo. Seriously?!!!… Voir plus
Intelligent et débile, drôle et lassant... tout en même temps. Pas trop mal mais trop de tout
Film devenu culte aux US, une proposition originale, un bon moment de cinéma
Le navet par excellence!… Bruyant, sans queue ni tête, sommes partis après une demi -heure, frustrés. Une perte de temps…
“Docteure Strange”
Evelyn apprend de la bouche de son époux qu’elle est l’élue, menacée par une entité chaotique venue d’un autre univers. Mais entre la laverie automatique, le Nouvel An chinois à préparer, les impôts à déclarer, une instance de divorce qui lui pend au nez, un père malade et une fille lesbienne, elle n’a pas vraiment le cœur de s’en charger.
Objet « arty » non identifié ou délire raté sous ecstasy ? Difficile de choisir… L’idée de déglinguer la théorie des multivers chère à Marvel en faisant d’une jeune sexagénaire asiatique la nouvelle Wonder Woman punk, pourquoi pas. Mais les transpositions via le rectum et les combats à coups de verge XXL ou de chihuahuas XXS laissent songeur. Et, même s’il s’avère très sympathique, à quoi bon cet hommage appuyé à Ratatouille ? Au milieu de ce gloubi-boulga sauce kung-fu Gondry qui remplace les phalanges par des saucisses et l’œil de Sauron par un bagel, on perd le fil au point de ne se réveiller qu’en même temps que l’héroïne face à son propre film. Fallait-il vraiment boursoufler l’ensemble pour permettre à une migrante de trouver sa digne place et faire comprendre à cette mère que laisser sa fille quitter la matrice est la seule chose acceptable ? Reste le plaisir de retrouver en une Michelle Yeoh, tigresse et dragonne, Jamie Lee Curtis, gorille fiscaliste, et le goonie Ke Huy Quan, jamais sans sa banane.
(6/10)… Voir plus
Dernière modification il y a 2 ans
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