Ce film est un mélange d'humour, d'amour, de racisme et de tolérance. Je me suis régalé pendant la projection et 4 jours après, j'y pense encore!!! Finalement, le racisme est synonyme de mal être des gens ni plus ni moins... A voir et à revoir....Pour ma part, le réalisateur et son équipe ont osé montré une autre facette de Genève et surtout de nuit, en plus, je trouve qu'il hypocrite de se voiler la face et dire que tout va bien chez nous....En conclusion, je donnerai un 7/6 même si la note peut paraître excessive!!! Je sponsoriserai personnellement en partie une prochaine oeuvre de ce genre avec plaisir!!!… Voir plus

La Genève internationale vue de nuit dans ses recoins du désespoir et de la frustration.
Tellement vrai!

Film troublant et émouvant. Bien que le type de situation présenté me soit très familier, c'est néanmoins une expérience mémorable de voir sur grand écran des fragments de ma propre histoire (et des histoires de tant de gens que je connais).Ces personnages sont si vivants et credibles, on les entend respirer, on sent leurs muscles se tendre et on suit jusqu'aux étincellements fébriles de leurs prunelles. Craquant le personnage de Djarra Damanta. Mais l'aspect le plus étonnant est que ce film (qui illustre une réalité genevoise) a une intrigue structurée de façon à nous rappeller les bons films américains des 10 dernières années (Shortcuts, Magnolia, Lantana). Il échappe également au double piège du happy end et du final catastrophiste. Merci encore pour le personnage de l'immigré italien.… Voir plus

Vraiment navrant ! je suis très étonnée que de tels films soient subventionnés, j'ai mis 1.5 car les musiques sont bonnes.

Aux frontières de la nullité ! Très mauvais film, ne perdez pas votre temps et votre argent...

Film médiocre, acteurs mauvais, scénario à 2 francs on se demande ou le réalisateur a appris son boulot.

La semaine dernière j'ai découvert ce petit bijou, par hasard. Mais je me demande si les suisses sont prêts pour ce genre de film qui remet en question la carte postale.
Une oeuvre pleine de vérité et d'émotion. A voir et à revoir pour méditer.
Pour répondre à anguille qui me prend à parti alors que je ne fais que donner mon avis, j'ai vu "Pain et Chocolat" et "Das Fräulein" et je préfère "Aux Frontrères de la Nuit". Quant à Alain Tanner, je respecte son oeuvre, mais la Suisse a beaucoup changé depuis. J'ajouterai que Aux Frontières de la Nuit donne deux rôles principaux à un arabe et à un noir et je pense que certains suisses ne sont pas prêts à ça...… Voir plus

Pour une fois qu'un film suisse sort au cinéma, on aurait pu espérer qu'il soit interessant, passionnant, bref qu'il nous fasse passer un bon moment.. Le cinéma n'est-il pas fait pour cela après tout? Hélas, tout le contraire se produit. Premièrement, j'espère que la police genevoise n'ira jamais le voir, elle en sortirai choquée. Le réalisateur essaie de nous montrer une police raciste, inneficace et de surcroit violente!! Que de mensonges! Que l'on vienne m'expliquer pourquoi un des inspecteurs a un accent siusse-allemand? plus agacant qu'autre chose! La suite.. dans la même idéologie.. Le film traine en longueur.. peut-être que si le réalisateur en aurait fait un court métrage, cela aurait été valable en tout cas au niveau budgétaire... Un film critiquant la Suisse et ces méthodes à tout point de vu mais tout de même financer par les institutions publiques... bref... arrêtons de produire ce genre de film qui ne fait qu'agacer et qu'ennuyer.. A quand un cinéma commercial Monsieur Bideau?… Voir plus

A la sortie du film Indigène, je voudrais rappeler qu'un film existe en suisse qui donne une voix aux déracinés de chez nous. Un très beau film, qui raconte une histoire d'aujourd'ui et qui s'intéresse à plusieurs destins: immigrés et paumés s'y mêlent, avec chacun sa galére sur le dos. De belles performances. Des images de Genève à vous couper le souffle... Un film suisse lié à l'actualité, comme je n'en ai jamais vu. En tant que suissesse j'y ai appris des choses sur moi, ma ville et sur mon pays. Merci à ceux qui ont eu le courage de mettre tout ça à l'écran.… Voir plus

Je ne peux que dire que ce film est un bide total. En sortant je me suis dit "soit le réalisateur est idiot, soit il prend les spectateurs pour des cons !". Ce film est bourré de clichés, les rôles sont la plupart mal interprétés. L'idée de base n'était pourtant pas mauvaise. Mais le résultat est malheureusement extrêmement décevant. La seule chose positive de ce film est la musique.… Voir plus

1 ville, 5 acteurs, et le 6ème, vous, moi. Si Immergé dans cette vision du réel que l'on doute d'être un simple spectateur. A voir !

Je trouvais la critique très sévère après avoir lu le Temps qui titrait ‘Aux frontières de la nullité’ mais après avoir vu le film on ne peut qu’acquiescer. Je mets 3 par solidarité mais cela commence véritablement à m’exaspérer de voir des productions Suisse-Romandes recevoir des centaines de milliers de francs de nos impôts pour un tel résultat.

L’affiche du film est une pale copie du graphisme type des grosses productions hollywoodiennes avec le Jet d’Eau comme symbole. A croire que le cinéaste suisse se sent toujours obligé de labelisé son œuvre ‘made in Switzerland’.

Les cinq protagonistes du film ont tous une carence affective ; super and so what ! Au lieu de se concentrer sur un personnage et de le traiter à fond, l’auteur veut nous parler du thème du déracinement, de la solitude, de l’immigration, de la perte de désir, de la drogue, de la prostitution, de l’amour, de l’alcoolisme, et pourquoi pas du FC Servette. Bref, à vouloir parler de tout, on finit par ne parler de rien car il s’agit en faite d’un cocktail de clichés que même un enfant de dix ans trouverait ringard.

Exemples :

‘les flics genevois’ : alors même qu’ils ont été accusés de laxisme durant le G8, on les voit dans ce film brutaux, bêtes, racistes, désœuvrés, sans humour et sans profondeur. Une image ridicule et fausse du policier genevois totalement gratuite à mon sens.

‘Les prostituées genevoises’ : alors là l’auteur démontre toute la pauvreté de son récit. Il a du faire trois fois le tour de la rue de Berne pour nous donner l’illusion d’un red light district. Les deux poules dans le tunnel sont toutes droit sorties d’un épisode de Starsky et Hutch avec le dialogue qui tue ‘tire toi t’es sur mon territoire ici !’.

‘Le déracinement’ : ou quand un pauvre immigré nord africain veut retrouver ses racines … oh j’arrête là ! !

Ma conclusion est qu’il ne suffit pas de choisir un thème de société brûlant pour nécessairement être pertinent, il faut en dégagé l’essence et ça c’est le travail de l’artiste mais quand on s’improvise scénariste, réalisateur et producteur à la fois voilà le résultat.

De grâce ne venez pas me dire que cet échec cinématographique est dû au manque de subvention, stop ! ! ! Je pense vraiment que ce ne sont pas les bonnes personnes qui font du cinéma en suisse.… Voir plus

ce film est très bien fait, il montre divers acpects de Genève tout en racontant une histoire humaine, universelle et boulversante.

Film magnifique aux images très soignées; d'une belle facture.
Les personnages sont poignants avec toujours une pointe d'humour qui rend le film à la fois profond et léger.
Enfin un film sur la marginalité à Genève

Un regard sans complaisance, mais avec tendresse aussi, et humour même, sur des réalités ignorées qui nous entourent. Et de l'espoir, aussi. Merci Nasser Bakhti. Lise