Mange, prie, aime Etats-Unis 2010 – 133min.

Critique du film

Eat, Pray, Love

Critique du film: Katrin Gygax

Une écrivain new-yorkaise s'offre un tour du monde pour soigner un coup de blues.

Souffrant de solitude alors qu'elle est mariée et ne trouvant aucun but à sa vie, Liz Gilbert décide de divorcer et de se prendre une année sabbatique afin d'effectuer un tour du monde au cours duquel elle espère trouver des réponses existentielles à ses doutes. Elle se rend tout d'abord en Italie afin de découvrir l'art de la cuisine, puis en Inde pour apprendre la méditation, et enfin à Bali pour approfondir ses recherches en matière de spiritualité. Là, elle trouver le Grand Amour...

Les magnifiques paysages et le charme intact de Julia Roberts ne parviennent pas à sauver cette suite sans fin de niaiseries et de réflexions superficielles. En effet, cette adaptation du best-seller d'Elizabeth Gilbert s'adresse au même genre de femmes que son auteure: des bourgeoises désoeuvrées et ennuyées en pleine crise de la quarantaine/cinquantaine, ayant les moyens de s'offrir un tour du monde pour soigner un coup de blues et découvrir ce que signifie réellement "souffrir".

25.09.2012

2

Votre note

Commentaires

Vous devez vous identifier pour déposer vos commentaires.

Login & Enregistrement

Rtinho

il y a 13 ans

le livre est bien meilleur mais le film est quand meme tres bien, et Bali.. uhhm vraiment à faire!


biloue

il y a 13 ans

j ai eu enormement de mal a accrocher pour ce film. Une julia roberts en quete de son identite dans un film long et barbant


frdnvr

il y a 13 ans

Dites, elle a des airs de Dalida cette Julia R. Histoire pour un public en transition dans sa vie. 30a, 40a... qui regarde son passe et pris de panique veut changer a present son futur.
Beaucoup de miévreries mielleuses americaines, mais des bons dialogues, une charmante repartie du personnage de David, j ai trouve son dialogue romantique.: -) Les dialogues sont assez recherches, certaines réparties sont gentillement philosophique, et laisse a reflexion {avoir un enfant c est comme un tatouage sur le visage}.
Un road trip dans le monde, 4 pays, pour diverses rencontres comme je les aime, et qui bouleversent la vie des protagonistes. Malgre cette diversitee on ressent une petite longueur dans l histoire, les rencontres sont un peu redondantes... Mais on peut se rabattre sur des decors tres jolis et depaysant.
Ca se regarde bien, une fois.
{Ho! j ai releve une phrase importante... "des cheveux comme Cher en 75" lol}Voir plus


Autres critiques de films

Riverboom

Sauvages

Feu Feu Feu

Naître Svetlana Staline