Predators Etats-Unis 2010 – 107min.
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Commentaires
Le fantôme du Predator 1, est malade, pâle, menteur, copieur, anoréxique, soporifique,
Décidement hollywood ne sait plus et n'arrive plus a se recycler. Consternant, 10€ pour revoir le même que le 1er, avec des effets en plus!
j'ai regardé predator 2 et celui ci 2 jour après je peux dire que predator 2 est une grosse daube.est que celui ci est génial changement de décors et il n'y a plus un mais plusieurs prédator ce film est horrifique,flippant et gore a souhait.
<br>par contre le scénario laisse a désiré mais on fera avec.… Voir plus
Difficile de juger comme film, les héros sont d'un cliche monstrueux,l'histoire tient sur une feuille de papier c.., ceci-dit le film se laisse regarder facilement, les acteurs tiennent assez bien leur rôle et la chasse des prédators est assez flipante, donc pourquoi pas si vous avez aime les films précedant… Voir plus
En effet le très (trop?) grand nombre de clin d'oeil au premier est quand même un peu barbant, on peut s'attendre à ce qui va se passer dans chaque scène.
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<br>Néanmoins, l'action est bien pensée! Rien que le début est terrible, on s'attend pas à ça! C'est un bon film d'action en tout cas! Totalement différent des autres vu l'environnement où ça se déroule. Je ne m'attendais pas à ça!
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<br>Le nombre de références au 1er opus est énorme. Par contre je n'ai compté qu'une seule réf au 2 : le squelette d'une des créatures entrain de bruler, qu'on voyait apparaitre sur le mur à l'intérieur du vaisseau à la fin de Predator2... j'ai trouvé super :)
<br>Il manquait juste encore un squelette d'alien parmi les cadavres ;)
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<br>Quid d'un PREDATORS2 ? car la fin nous laisse sur notre faim...… Voir plus
Après les ultimes blasphèmes que furent les 2 tristement célèbres crossovers Alien Vs Predator et Aliens Vs Predator – Requiem, voici qu’un nouvel opus vient prolonger la saga Predator, 20 ans après Predator 2. Rapidement le fait que Robert Rodriguez (Sin City, Planet Terror, Machete) soit rattaché au projet avait rassuré les fans (il avait déjà écrit un script nommé "Predators" il y a 15 ans) et même si au final il ne réalise pas le film, il aura suivi son développement de très près en plus d’en assurer la production. Ce nouveau métrage n’est heureusement pas un reboot et encore moins un remake mais fait suite aux 2 films précédents, bien qu’il soit conçu pour être appréhendé sans problème par les néophytes.
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<br>Predators est une bonne grosse série B comme pouvait l’être Predator 2, mais il aurait pu se révéler bien meilleur en évitant les trop nombreux clins d’œil inutiles au premier opus. En effet l'œuvre de Nimrod Antal aurait gagné à se démarquer d’avantage du film de John McTiernan, et le reproche vaut également pour la bande son qui se contente de nous offrir les compositions originales d'Alan Silvestri à la note près (j’exagère à peine), hormis quelques passages légèrement remixés. Le vice est même poussé jusqu’à utiliser "Long Tall Sally" de Little Richard pour le générique de fin (morceau que l'on peut entendre dans le premier Predator quand le commando est en route vers la jungle). A quoi bon ce genre de clin d’œil lourdaud qui tombe comme un cheveu sur la soupe ? Mis à part ça le film fourmille d’idées assez géniales qui enrichissent considérablement la mythologie et relancent de manière très efficace la franchise. Le concept (des tueurs de tous horizons soigneusement sélectionnés et kidnappés pour servir de gibier de choix à une équipe de Predators) est terriblement jouissif et donne lieu à de nombreuses situations intéressantes.
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<br>La brochette d’acteurs est très convaincante et ça n’était pas gagné d’avance vu les clichés potentiellement inhérents à une équipe réunissant un soldat russe, un tueur en série, un chef de gang mexicain et un yakuza (Louiz Ozawa qui joue terriblement bien). Et si personne n’égalera jamais le charisme d’Arnold Schwarzenegger, Adrien Brody arrive à être plus que crédible dans son rôle de mercenaire. Laurence Fishburne quant à lui nous montre tout l’étendu de son talent lors de sa trop courte apparition.
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<br>Au final, terminés les ralentis foireux, les morts hors-champ et les Predators qui pactisent avec les Mayas : Nimrod Antal nous renvoie aux sources du chef-d’œuvre initial de John McTiernan (sans jamais l’égaler). Volonté de prouver la supériorité de son espèce par la chasse, retour salvateur à notre bestialité profonde pour survivre… la saga Predator nous rappelle que l’homme, aussi évolué qu’il puisse paraître, peut rapidement se retrouver à genoux devant la seule loi de l’univers : celle de la jungle.
<br>… Voir plus
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