Nestle n'est pas Suisse ou alors La Suisse est le pays le plus anti-démocratique, anti-écologique et pro-économique qu'il soit.
<br>Un documentaire qui se trouve sur internet... A VOIR pour se faire malheureusement à cette idée... L'argent détruit tout.

Une confusion malveillante au service d'une naïveté confondante.<br>Le peu de réalité qu'on y apprend ne sert à rien. Le reste est mauvaise foi.

Au delà de l'enquête sur la multinationale Nestlé, ce film a le mérite de soulever la question de la gestion de l'eau potable de la planète. <br>Le documentaire est bien construit, modéré. Il est bien regrettable que Nestlé se soit obstiné à refuser le moindre commentaire tout le long du tournage et même après...… Voir plus

A VOIR absolument. Chaque bouteille d'esu sur votre table contient la mort pour des milliers d'enfants. UNE HONTE... Il n'y a que les "vendus" pour critiquer ce film courageux. L'eau peut tuer et NESTLE est complice de ce massacre. Pour ne pas mourir idiot ... aller vous informer.

Je sais, on peut me répondre: "Mais si les gens sont assez cons pour acheter..." Le vrai scandale de l'eau se trouve ailleurs que chez nous....

Le film traite de manière exemplaire la problématique de la commercialisation de l'eau en bouteille par Nestlé à travers le monde. Ni hypercritique ni polémique, il donne avant tout la parole aux personnes concernées - dont M. Brabeck qui s'y exprime en long et en large.<br>A lire les précédentes critiques, on peut supposer que Nestlé, après avoir refusé tout dialogue et fermé ses portes au réalisateur, continue sa politique de dénigrement par supporters interposés...<br>Lamentable.… Voir plus

Il n'y a que les inconscients qui soutiennent la vente d'eau en bouteille. Tout ce qui peut condamner cette pratique mérite notre respect. Ce film vaut d'être vu rien que pour cela. Honte aux voleurs de "vie". Bravo aux dénonciateurs!

Surfant sur la vague apolitique des 'indignés', un film à la recherche du grand méchant loup. Ecologisme nimby à courte vue, bourré d'idées recues nauséabondes et faussement candides. Franchement ça n'arrive pas aux doigts de pieds de Michael Moore, qu'on en vient presque à regretter.