Después de Lucía France, Mexique 2012 – 103min.

Communiqué de presse

Después de Lucía

Lucia est morte dans un accident de voiture il y a six mois ; depuis, son mari Roberto, et sa fille Alejandra, tentent de surmonter ce deuil. Afin de prendre un nouveau départ, Roberto décide de s'installer à Mexico. Alejandra se retrouve, nouvelle, dans une classe. Plus jolie, plus brillante, elle est rapidement la cible d'envie et de jalousie de la part de ses camarades. Refusant d'en parler à son père, elle devient une proie, un bouc émissaire.

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Commentaires

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la_critique

il y a 11 ans

Un film incontestablement cruel à souhait, et qui sans aucun doute reflète un Mexique, une "cocotte minute au bord de l'explosion" (Le Monde). Sans doute la violence et le coup de vengeance final (plus que surprenant!) dans ce film sont-elles représentatives de cette violence infernale et des réglements de compte que subit ce pays aujourd'hui.
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<br>Si ce film a reçu un prix à Cannes, néeanmoins on s'interroge sur sa qualité: la temporalité du scénario est mal ficelée, maladroite, et des bouts de séquences de film sont mis ensemble alors qu'ils n'apparaissent que peu liés entre eux. Le film présente certaines longueurs dans certaines de ses séquences qui nuisent à la fluidité de l'histoire. La scène finale reste déconcertante et l'histoire se finit par un cul de sac frustrant pour le spectateur.
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<br>Bref, on sent un film voulant dénoncer les malaises et cruautés de la société mexicaine, mais qui repose sur un scénario branlebalant....
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<br>Et Le Monde de poser cette question centrale: "ce spectacle de cruauté était-il bien nécessaire? peut être faut il vivre au Mexique pour y répondre" :evil:Voir plus


jamesberclaz

il y a 11 ans

Visiblement un disciple de Robert Bresson, dans la lignée d'un Haneke des années 90, le réalisateur établit l'éminemment éthique technique de la distance critique en usant des conventions du contre-cinéma.


CineFiliK

il y a 11 ans

Un film manquant de nuance qui choisit de limiter ses personnages dans les rôles de passive victime et bourreaux violents. Cette absence de subtilité finit par décrédibiliser le propos et désamorcer toute empathie. A l'image d'un final en "queue de poisson" auquel on peine à croire.


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