Winter's Tale Etats-Unis 2014 – 117min.
Critique du film
Winter's Tale
Un siècle plus tard, un voleur a l'occasion de retrouver l'amour de sa jeunesse, décédée prématurément.
New-York, 1915. Orphelin et voleur, Peter Lake voit son destin bouleversé par sa rencontre avec la douce Beverly. Mais leur idylle est maudite : elle est condamnée par la tuberculose, et lui, poursuivi sans relâche par le démon Pearly. En 2014, Peter Lake erre dans les rues new-yorkaises, amnésique. Un siècle s’est écoulé, mais le destin de Peter est sur le point de se révéler, lorsqu'il rencontre une femme et sa petite fille. Celles-ci vont alors l'aider à retrouver ses souvenir et son amour perdu...
Hollywood est un mystère. Comment Un amour d'hiver a t-il pu exister ? Comment un scénario si ridicule a t-il pu convaincre Colin Farrell, Russell Crowe, William Hurt, Will Smith et Jennifer Connelly ? N’y a t-il eu personne pour empêcher ce film de sombrer dans un océan de médiocrité, de laideur et de poésie de bas-étage ? Pour son premier film, Akiva Goldsman, qui a signé quelques gros scénarios (Je suis une légende, Da Vinci Code) et remporté un Oscar comme producteur d'Un homme d’exception, décroche la palme du naufrage de l'année avec ce navet indigeste. Cette horreur bourrée d'effets spéciaux permettra au moins à certains de relativiser les imperfections de The Fountain et Cloud Atlas, dont le spectre plane sur Un amour d’hiver.
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