Entre le Pérou, la Colombie et l’océan Pacifique : l’Équateur, un pays entre ciel et mer, qui s’étale de la côte au massif des Andes, en passant par l’Amazonie jusqu’aux îles Galápagos. Un voyage des profondeurs de la mer, des étendues infinies jusqu’aux sommets les plus hauts du pays. Un voyage en hommage à la nature, aux gens et à soi-même. Malgré le peu de parcelle de terre à offrir, la diversité est si riche que l’Equateur en devient un pays d’Amérique du sud agréable à vivre. En plus de ses ressources culturelles, naturelles et humaines, il y a surtout les joies, merveilles et passions qui composent la vie la vie de ses habitants. Pura Vida offre des vues époustouflantes de faune et de flore, de vie abondante, de rêves et d’aventures, des instants d’émerveillement et de réflexion.

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Pura Vida (en référence à une phrase populaire en Amérique centrale et du sud, qui signifie que tout va bien et que la vie est belle) est évidemment un plaisir pour les yeux : de la jungle luxuriante et peuplée de fleurs colorées aux sommets perdus dans la brume, des eaux tropicales aux cimes enneigées, le film de Severin Frei offre un panorama étourdissant de l’Equateur, pays méconnu voire mystérieux. En donnant la parole aux habitants, en filmant les coutumes locales et le mode de vie des populations, le réalisateur témoigne d’une admiration et d’un vrai respect pour le pays, au-delà de la carte postale d’un Européen en expédition à l’autre bout du monde. Mais cela n’empêche pas au film de ressembler à un long reportage télévisé plutôt qu’un documentaire de cinéma, avec une approche superficielle des choses et des gens, en plus d'un montage maladroit.