Wish Upon Etats-Unis 2017 – 90min.
Critique du film
Wish Upon
Hantée par le suicide de sa mère, Clare, 17 ans, reçoit de la part de son père un cadeau : une étrange boîte à musique orientale. En essayant de déchiffrer les symboles inscrits, elle découvre une inscription qui mentionne sept vœux. Sans trop y croire, elle s’y essaye, et constate vite que son souhait a été exaucé. Mais alors qu’elle commence à utiliser ce pouvoir, Clare va comprendre que chaque vœu exaucé a des conséquences dramatiques et incontrôlables…
Le vrai avertissement est le nom de John R. Leonetti, réalisateur de l’affreux Annabelle. Car Wish Upon est à classer dans la même catégorie des petits films d’horreur insignifiants, cruellement dénués de personnalité, qui se consomme avec un plaisir régressif avant d’être oublié. Téléphonée, cette histoire de boîte à souhait démoniaque repose sur une mécanique trop huilée, ni suffisamment inventive ni assez perverse pour réellement amuser. Il y a bien quelques scènes de mises à mort amusantes, qui sauront satisfaire les amateurs venus chercher leur dose, et des acteurs charmants (dont Joey King, vue dans Wish I Was Here et White House Down, et Shannon Purser, qui a marqué les esprits dans Stranger Things) pour assurer le service, mais Wish Upon reste au final bien trop simple et gentil pour avoir un impact.
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