La Petite Vadrouille France 2024 – 95min.

Communiqué de presse

La Petite Vadrouille

Justine, son mari et toute leur bande d'amis trouvent une solution pour résoudre leurs problèmes d'argent : organiser une fausse croisière romantique pour Franck, un gros investisseur, qui cherche à séduire une femme.

Votre note

Commentaires

Vous devez vous identifier pour déposer vos commentaires.

Login & Enregistrement

CineFiliK

il y a 4 mois

“Et vogue la galère”

Justine est approchée par Franck, son patron. Afin de plaire à une femme, il lui confie 14 000 euros cash pour lui organiser un week-end romantique. Gênée, l’assistante finit par accepter son offre afin d’aider son entourage fauché comme les blés.

La première scène est éloquente. Au risque de finir dans un sac poubelle, Jocelyn doit de l’argent à Rosine, qui a une dette envers Sandra, qui n’a toujours pas remboursé Caramel, à qui Albin, le mari de Justine, réclame quelques billets prêtés. Et vogue la galère pour ces copains d’abord qui voient en Franck un beau pigeon à plumer. « J’ai l’impression de préparer un hold-up », confesse l’une des complices. Rien de méchant dans cette affaire ni de folie des grandeurs, le casse du siècle prenant les airs d’une navigation en Père Peinard sur le canal du Nivernais.

Égal à lui-même, Bruno Podalydès mise sur une lutte des classes plus naïve que renversante. Il se retrouve à nouveau les pieds dans l’eau, comme dans un avion, laissant l’effet « wahou » des paysages fluviaux opérer. Au moyen de QR codes invasifs, il s’essaie aux technologies modernes des deux Alfred, vite effacées par la vraie nature. Son petit théâtre est rempli d’amis qui jouent, trompent et se dupent avec le sourire. La croisière s’amuse et amuse un temps, imposant son éloge de la lenteur. Mais dans cette échappée belle, un petit coup d’accélérateur, comme insiste Franck, ne ferait pas de mal. Si le vent libertaire d’une jeunesse tente de souffler, il ne fait pas de vagues. La pénichette s’enlise avant de rentrer sagement au port. Fin du voyage, tout le monde s’incline comme sur une « Seine ».

(6/10)Voir plus

Dernière modification il y a 4 mois


TOSCANE

il y a 5 mois

Un film vite oublié mais reposant, un peu désuet mais charmant. J’aime beaucoup Sandrine Kiberlain, dans ce film, un peu moins Daniel Auteuil. Les chansons, des années 80 peut être, m’ont beaucoup amusée et quelle idée que cette vieille chanson d’Alain Barrière …. Elle était si jolie. Un peu rétro tout de même …Voir plus


Eric2017

il y a 5 mois

Film plat sur tous les angles. Bruno Podalydès était déjà ennuyeux avec Wouhaaa, et les deux Alfred et il persiste et signe avec la petite vadrouille. Au début je me suis dit qu'il y allait avoir quelque chose. Malheureusement 97 minutes après il ne s'est rien passé. Le tout filmé au rythme du cour d'eau et en conclusion bof -bof. (G-10.06.24)Voir plus


Autres critiques de films

Sauvages

Riverboom

Feu Feu Feu

Naître Svetlana Staline