Second volet des aventures du plus stupide des agents secrets français, Hubert Bonisseur de la Bath.

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12 ans après sa périlleuse mission au Caire, en 1967, Hubert Bonisseur de la Bath est envoyé au Brésil par les services secrets du Général De Gaulle afin de mettre la main sur un microfilm compromettant. Une fois sur place, cet agent secret ne tarde pas à faire équipe avec une charmante espionne au service du Mossad, dans le but d'infiltrer les milieux d'anciens nazis réfugiés en Amérique du Sud. Au cours de cette mission, Hubert Bonisseur de la Bath va se révéler une fois de plus totalement dépassé par les événements et complètement ignare des changements socio-historico-culturels agitant le monde entier en cette fin des années 60. Pire encore: notre fieffé imbécile ne craint pas de dévoiler à tout-va son «ambitieux» dessein consistant à «réconcilier les juifs et les nazis»! Toujours aussi ridicule dans ses prises de position sentant le post-colonialisme, le racisme, l'ignorance et le machisme primaires, cet agent de pacotille verra ses valeurs bouleversées en découvrant les hippies, l'amour libre ou encore le sexe avec un autre homme sous LSD.

2 ans après «OSS 117: le Caire nid d'espions», le réalisateur Michel Hazanavicius a concocté une suite très drôle dans laquelle Jean Dujardin est tout simplement irrésistible.