Génétiquement modifié pour devenir la parfaite machine à tuer, l’agent 47 peut assassiner n’importe qui, n’importe quand, n’importe où. Lorsqu’il découvre qu’une dangereuse organisation cherche à créer de nouveaux agents comme lui pour former une armée, il décide de les arrêter en les empêchant de mettre la main sur le scientifique ukrainien à l’origine de sa transformation. Une mission périlleuse qui mettra sur sa route Katia, une mystérieuse jeune femme qui le mènera vers d’étonnantes révélations sur son identité…

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Pas de doute possible : Hitman : Agent 47 est un navet pur et simple, avec suffisamment de bêtise et mauvais goût sous le capot pour tétaniser le plus solide des amateurs de séries Z. D’une franchise de jeux vidéos cultes basés sur l’infiltration, Hollywood a tiré un énième film d’action décérébré, kitsch et ridicule, qui cabriole à la moindre fusillade, balade des personnages en papier mâchés, et alterne entre des scènes de dialogues minables et des séquences d’action ordinaires, amochées par des effets de style indignes d’un film sérieux. Quand on réalise que le premier film d’Aleksander Bach, porté par Rupert Friend de la série Homeland, surpasse en médiocrité celui de Xavier Gens, sorti en 2007 avec Timothy Olyphant et Olga Kurylenko, on comprend que l’industrie hollywoodienne fait peur. Très peur.