La fin du monde est proche : le Grand Déluge arrive. Heureusement, Noé a construit une Arche pour y accueillir tous les animaux. Tous... sauf Dave et son fils Finny, qui appartiennent à la race des Nestrians -de curieuses et adorables créatures que personne n'a jugé utile d'inviter à bord de l'Arche. Grâce à l'aide involontaire de deux farouches Grymps, Hazel et sa fille Leah, les Nestrians parviennent à embarquer discrètement. Mais, au moment du départ, Finny et Leah tombent accidentellement du bateau. Ils vont dès lors devoir s'unir pour échapper au Déluge et survivre dans un monde hostile et peuplé de prédateurs sauvages.

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Oops ! Noah is gone n’a qu’une raison d’être : divertir, pour une petite heure et demi. Pas de magie ni d’originalité, pas de séquences visuellement incroyables ou de poésie inattendue : seulement une petite aventure sympathique mais très simplette, articulée autour d’une bande d’animaux ridicules, colorés et loquaces, embarqués malgré eux dans une aventure rocambolesque. La mission est remplie sans subtilité ni effort grâce à quelques traits d’humour et une efficacité globalement indéniable, mais il manque au film de Toby Genkel une âme qui lui permettrait d’être autre chose qu’une nouvelle production anecdotique, perdue dans l’océan des films d’animation qui tentent d’imiter Pixar et compagnie.