Beetlejuice Beetlejuice Etats-Unis 2024 – 105min.

Communiqué de presse

Beetlejuice Beetlejuice

Après une tragédie familiale, les Deetze reviennent à Winter River. La vie de Lydia est complètement bouleversée lorsque sa fille ouvre la porte du monde des morts. Le malheur se prépare dans les deux mondes. Ce n'est qu'une question de temps avant que quelqu'un ne prononce trois fois le nom de Beetlejuice et que le démon espiègle ne revienne pour répandre son propre type de chaos.

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Commentaires

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CineFiliK

il y a 3 jours

“Noces funèbres”

Lydia Deetz, star dépressive d’une émission peu honnête sur les lieux hantés, apprend par sa belle-mère le décès accidentel de son cher père. Pendant ce temps, dans les limbes déjantées, Beetlejuice ne l’a pas oubliée, tout comme son ex-épouse Delores, bien décidée à ingurgiter du jus de scarabée.

Après des années de doutes et de désarroi, Tim Burton retourne à ses premières amours. Avide de gothique, de sang et de viscères, il redonne vie à ses personnages fétiches. Il y a 36 ans, Beetlejuice n’était qu’un élément perturbateur qui n’apparaissait sur appel qu’au dernier tiers du film. Aujourd’hui, le démon sympathique gagne en épaisseur, même si Lydia demeure l’alter ego principal du réalisateur. Sombre, malheureuse, et manipulée par un producteur charmeur, elle rappelle l’expérience douloureuse du cinéaste qui vendit son âme au diable Disney, lors de noces funèbres. Dans ce second épisode, le mariage a un goût de mort qu’il réunisse jeunes ou plus âgés. La nouvelle fiancée de Frankenstein – Monica Bellucci – est avertie, contrainte de s’agrafer pièce après pièce pour à peine exister. Car en ce train fantôme, les histoires pas toujours abouties s’emmêlent sur un rythme infernal. La griffe du vampire demeure néanmoins reconnaissable. Maquettes charmantes, animatroniques d’un autre âge, générique espiègle de Danny Elfman et musiques entraînantes imaginent le métro transportant les âmes comme une discothèque adepte de soul. Si Tim Burton ne se renouvelle guère, il retrouve ses couleurs d’origine et rassure son public le plus fidèle.

(6.5/10)Voir plus

Dernière modification il y a 3 jours


Eric2017

il y a 21 jours

L'univers de Tim Burton est de retour et ça me fait plaisir. Il est probablement le seul à faire de tels films et on ressent le plaisir des actrices et acteurs à faire partie de l'aventure. Michael Keaton fait un vrai Show et Monica Belucci se sent à l'aise dans le fait de s'enlaidir et ainsi ne plus être perçue que pour sa beauté plastique. Il ne faut pas oublier non plus William Dafoe qui n'hésite pas à faire partie de la folie Burton comme dans celle de Kind Of Kindness ou encore Pauvres créatures. Et puis il y a Dany De Vito qui y fait une apparition pour le moins spectaculaire. Bref, un film bien équilibré où l'humour et la dérision restent au premier plan. (F-12.09.24)Voir plus

Dernière modification il y a 21 jours


vincenzobino

il y a 23 jours

3.75: Tim Tim Tim
Lydia est devenue mère de famille... et veuve. Avec sa fille Astrid et son nouveau compagnon Rory producteur du talk-show qu’elle anime sur les esprits, elle est tenue à un incroyable retour en arrière sur les traces du Démon dont on ne doit prononcer trois fois le nom, lorsque Astrid croyant rencontrer un nouveau flirt est en réalité happée par Jeremy qui se dit orphelin et désireux de fonder une famille... qui a existé.
Le voici ce retour de l’esprit maléfique et burlesque. Il s’est bien fait attendre et réussit quasiment son retour.
Si vous n’aviez jamais vu le premier acte, vous risqueriez de vous demander ce que vous faites là au milieu de ce monde de fou surnaturel. Si au contraire vous avez connu et vibré davantage que tremblé devant la qualité visuelle et burlesque et le Keaton Show, vous serez tout d’abord interrogatif sur cet héritier en soi puis familiarisé et plutôt ravi par ce retour qui met un peu de temps à se mettre en place. Vous serez également confronté à un chouette retour en arrière dans l’univers des 80’s avec néanmoins un souffle du XXIEME siècle illustré par Astrid et une ère numérique cherchant sa place dans l’au-delà.
Il manque forcément l’effet surprise mais ne boudons pas ce retour du Beetle frappeur aux doigts d’argent évaporé.
Se laisse tout à fait voirVoir plus


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