Alors que leur fille Paris s’apprête à voler de ses propres ailes pour commencer ses études, et ainsi s’éloigner d’une grande et très envahissante famille, Toula et Ian se retrouvent face à leur mariage qui bat de l’aile, la faute à un quotidien qui a pris le pas sur leur complicité. Mais lorsque les parents de Toula découvrent avec stupéfaction que leur union n’est pas officiellement valide à cause d’un problème de signature, ils décident d’organiser un grand mariage traditionnel, qui va à nouveau réunir et bousculer tout le clan des Portokalos.

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En 2002, la comédie plus ou moins romantique Mariage à la grecque, tirée du one woman show de Nia Vardalos, est un succès phénoménal. Un succès qui a donné la (courte) série TV My Big Fat Greek Life l’année suivante, et l’inévitable suite. 14 ans après débarque ainsi l’inévitable suite, que plus personne n’attendait, et pour cause. Le petit charme de la première fois s’est ainsi évaporé pour devenir une insignifiante suite de gags pas très inspirés (l’héroïne surprise par ses parents sans gêne en plein ébat amoureux, l’héroïne qui se prend un ballon dans la tête), articulés autour d’une intrigue artificielle et terne. Nia Vardalos et ses acteurs ont beau dépenser une énergie considérable pour donner vie à la chose, Mariage à la grecque 2 se révèle bien trop simplet, attendu et moralisateur pour séduire une nouvelle fois.