Les dents, pipi, au lit France 2018 – 90min.

Communiqué de presse

Les dents, pipi, au lit

Antoine est un célibataire endurci, fêtard et séducteur. Il vit dans un magnifique appartement Parisien avec Thomas, son colocataire, où les soirées arrosées battent leur plein toutes les semaines. Lorsque Thomas part vivre à Los Angeles, il trouve à Antoine un nouveau colocataire pour le remplacer... « Jeanne, 1m70, yeux bleus ». Si la description fait saliver Antoine, il ne sait pas encore que la charmante Jeanne n’emménage pas seule… Mais accompagnée de ses deux enfants : Théo, 8 ans, et Lou, 5 ans.Antoine, qui est loin d’être un papa poule, va goûter bien malgré lui aux joies de la vie de famille…

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Commentaires

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Eric2017

il y a 6 ans

Aucune étoile à mettre et ça ne m'était PRATIQUEMENT JAMAIS arrivé. J'ai même hésité à écrire quelque chose sur ce...film. C'est nul de chez nul et je pense à tous les scénaristes qui ont des difficultés à trouver le montage financier pour faire leur film. C'est tout simplement affligeant et ça déshonore le cinéma de faire des niaiseries de ce type. Et oui j'y suis allé et c'est ce qui me permet d'en parler. Alors si vous voulez jeter 20 francs par la fenêtre allez-y!
Sinon choisissez un autre film sauf les Tuches 3 et vous serez de toute manière mieux récompensé. (F-24.03.18)Voir plus

Dernière modification il y a 6 ans


CineFiliK

il y a 6 ans

“Les femmes et les enfants ensuite”

La vie pour Antoine, le célibataire, c’est du champagne à gogo, des bombances jusqu’au matin et un défilé de filles en chambre. Mais quand son colocataire le quitte pour New York, laissant sa place à Jeanne et ses deux petits, la fête est finie.

On espérait de l’irrévérence, désacralisant la Sainte Famille et ses enfants d’abord, dans la mouvance de Papa ou Maman de Martin Bourboulon. Las, que du convenu à l’écran. Arnaud Ducret se croit dans son seul en scène et en fait des tonnes pour exister. Ecrasée par son partenaire, Louise Bourgoin distille quelques grammes de charme dans ce monde de clichés bruts. Insuffisant. Esprit de Noël hors saison et course finale aéroportée parachèvent un propos signifiant poussivement qu’un seul schéma existentiel est permis.

Il y a des films à l’image de la malbouffe, bien mise en valeur ici dans une scène vengeresse : ils paraissent appétissants, s’avalent vite, mais ne laissent que des regrets sur l’estomac.

3.5/10Voir plus

Dernière modification il y a 6 ans


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