ADN Algérie, France 2020 – 90min.

Communiqué de presse

ADN

Mère de trois enfants et divorcée, Neige rend régulièrement visite à Émir, son grand-père algérien qui vit en maison de retraite. Elle adore et admire ce pilier de la famille. Un jour, subitement, il meurt entouré des siens. Quamd sa famille nombreuse s'apprête organiser les funérailles, des fissures et des rancœurs anciens surgissent. Neige décide alors de partir à la cherche de ses racines et de son pays d''origine : l'Algérie.

Votre note

Commentaires

Vous devez vous identifier pour déposer vos commentaires.

Login & Enregistrement

CineFiliK

il y a 3 ans

“Hérédité”

La mort du grand-père algérien ébranle l’entier de la famille Robert. Neige, l’aînée, en conflit avec ses parents, éprouve un besoin de plus en plus pressant de retrouver ses origines.

Il était le pilier central, la colonne vertébrale. Autour de lui, les guerres intestines s’apaisaient. Main, dans la main, enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants se rapprochaient. Et se souriaient. Que vont-ils devenir maintenant ?

Maïwenn a le chic pour déstabiliser son spectateur. Elle l’émeut, l’amuse et l’agace. Comme dans cette scène où l’on palabre pour choisir un cercueil. Dans le grave s’immisce le conflit, l’absurde et le rire. Son regard attentif touche également quand elle filme la vieillesse, la maladie, la mort. Moins réussies sont les relations toxiques intergénérationnelles, rengaines dans son cinéma. Des esclandres pas toujours subtils qui semblent des messages très personnels adressés par l’actrice-réalisatrice. Le cocon familial est devenu… un nid de vipères. Qui suis-je ? D’où viens-je ? Où vais-je ? Pourquoi ne m’aimes-tu pas ? Maïwenn s’exhibe un peu, beaucoup, à la folie, et se rapproche parfois de l’universel.

6.5/10Voir plus

Dernière modification il y a 3 ans


Eric2017

il y a 4 ans

Alors autant le dire tout de suite, je n'ai absolument pas aimé ce film. Peut-être que ce n'est pas la période la meilleure pour le voir. Toujours est-il que j'en suis ressorti avec le moral dans les chaussettes. En plus je l'ai trouvé long, lourd et ennuyeux. (G-31.10.20)


Autres critiques de films

Gladiator II

Red One

Venom: The Last Dance

Le Robot Sauvage