Maestro(s) France 2022 – 96min.

Communiqué de presse

Maestro(s)

Chez les Dumar, on est chef d'orchestre de père en fils : François (Pierre Arditi), le patriarche, achève une longue et brillante carrière internationale, tandis que Denis (Yvan Attal), le fils, vient de remporter une énième Victoire de la Musique Classique. Quand François apprend qu'il a été choisi pour diriger la Scala, son rêve ultime, son Graal, il est fou de joie. Heureux pour son père, et en même temps envieux, Denis déchante vite lorsqu'il découvre qu'il y a méprise et que c'est en réalité lui qui est attendu à Milan...

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Commentaires

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vincenzobino

il y a 1 an

3.5: Mon fils ma bataille
François et Denis Dupart sont maestros de père en fils: le second vient de recevoir une Victoire et d’être nommé chef de la Scala. Sauf que c’est François qui reçoit le téléphone lui annonçant qu’il est lui-même nommé. De quoi mettre à mal l’équilibre familial.
La voici cette illustration apparente de la rivalité inter-génération sur un thème peu commun : la direction orchestrale. Une assez agréable expérience.
Porter le même nom et donc un héritage n’est pas toujours chose courante surtout dans ce milieu inaccessible qu’est la direction. Il fallait pouvoir illustrer cette tension tout en produisant une sorte d’empathie.
Et si certaines séquences feront forcément sourire, ce film, si vous avez l’oreille musicale, constitue un idéal souffle si vous avez le besoin de respirer. La séquence annonçant la supercherie promet une seconde partie tendue; la piste trouvée pour confirmer ou pas cette bévue est absolument exquise autant qu’improbable, et c’est là que les mélomanes oublieront ces imperfections pour se laisser guider par le chef-d’œuvre musical l’illustrant. Et sans en être un, cette expérience se laisse tout à fait voir.Voir plus


Eric2017

il y a 1 an

Vu en avant-première, c'est un film tout à fait agréable où trois générations sont représentées. Le Grand-père (Pierre Aditii), le fils(Yvan Attal) et le petit-fils (Nils Othenin-Girard). Les deux premiers sont des chefs d'orchestre réputés où une certaine concurrence existe. Jusqu'au jour où sur un appel téléphonique on se trompe en appelant le grand-père au lieu du fils pour diriger l'orchestre de La Scala... S'en suit un duo dont une scène magnifique lorsque Arditi va chercher une explication vers Attal... Ce passage m'a fait pensé à la scène d'anthologie entre Belmondo et Anconina dans le film de Lelouche. C'est d'une sincérité et d'une puissance incroyable. À voir. (G-24.11.22)Voir plus


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