Veuillez-nous excuser pour la gêne occasionnée Belgique, France 2023 – 89min.
Communiqué de presse
Veuillez-nous excuser pour la gêne occasionnée
Alors qu'il s'apprête à être promu et muté dans le sud, Sébastien, contrôleur de train consciencieux et professionnel, doit effectuer un dernier trajet de routine. Mais entre Madeleine, une inspectrice légèrement sociopathe, le jeune Adel qu'on lui impose comme stagiaire d'observation, et des passagers plus excentriques les uns que les autres, ce qui devait être une promenade de santé va devenir le pire voyage de sa vie.
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Commentaires
Film très très moyen avec un humour parfois grotesque. Un mauvais scénario, ce qui empêche vraiment aux acteurs de s'éclater. Elsa Zylberstein sort légèrement du lot grâce à un rôle différent de ce qu'elle interprète normalement. Bref, de temps en temps un sourire, sinon 80 minutes de trop. (G-21.08.23)… Voir plus
“Ceux qui sèment prendront le train”
C’est lors d’un « escape game » horrifique que Sébastien, contrôleur à la SNTF, apprend de Léa qu’il va bientôt être papa. Rien ne s’oppose au bonheur du couple qui rêve de quitter Anvers pour le sud de la France. Seule ombre au tableau, une inspection inattendue le lendemain dont dépendra la mutation du brave garçon. Incident majeur excepté, ce devrait être une formalité.
Sauf que tous les désaxés de l’endroit et d’ailleurs semblent s’être donnés rendez-vous dans ce même convoi. Cela commence par le fils ingérable du directeur, stagiaire obligé de Sébastien. L’inspectrice impitoyable – l’exquise Elsa Zylberstein qui a le chic d’enchaîner les déconvenues filmographiques – n’est qu’une nymphomane en plein déséquilibre. Ajoutons un conducteur qui se croit dans Top Gun, de bruyants fans de Johnny, un passager très collant, des singes hippies, le wagon famille et un ancien rival à la vengeance pugnace. Quelques piques bien envoyées, mais rien de très drôle dans ce TGV délirant. Le trajet dure et vire trop rapidement à l’absurde. L’humour d’Olivier Van Hoofstadt manque sacrément de subtilité et tente de se dédouaner en jouant la carte du surréalisme belge. La Société Nationale des Toqués Ferroviaires rame et finit par dérailler.
(5/10)… Voir plus
Dernière modification il y a 1 an
Lourd, grossier, avec des excès de rythmes constants qui n'apportent pas de plus très déçu Heureusement pas trop long
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