L’équipe des Expendables écope d’une nouvelle tâche : arrêter le terroriste Conrad Stonebanks pour l’amener à La Hague, où il sera jugé pour ses crimes. Une mission douloureuse puisque Stonebanks était lui aussi un Expendable, laissé pour mort par Barney Ross lorsqu’il est tombé du côté obscur de la guerre. Lorsque l’un des siens est gravement blessé, Ross décide de recruter de nouveaux équipiers plus jeunes et vifs, afin de remporter une nouvelle bataille…

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Ce qui guide le spectateur dans une salle obscure pour assister à la troisième aventure des Expendables se résume sans nul doute à un pur désir de divertissement : des fusillades, des explosions, des répliques humoristiques, emballées dans une nostalgie liée au défilé improbable de visages emblématiques du cinéma d’action des années 80. Mission accomplie donc avec ce film composé à 80% de scènes d’action plus ou moins spectaculaires, articulées autour d’un scénario absolument crétin. Le plaisir saura donc s’offrir aux plus cléments, tandis que les autres ressortiront au bout de deux heures grasses avec un air renfrogné, après une énième superproduction dispensable.