La Vierge, les Coptes et moi... Egypte, France, Qatar 2011 – 85min.

Communiqué de presse

La Vierge, les Coptes et moi...

Namir part en Égypte, le pays d'origine de ses parents, dans l‘intention de faire un film sur les apparitions miraculeuses de la Vierge Marie. Très vite l'enquête, qui est en perte de vitesse, lui sert de prétexte pour revoir la famille de sa mère, et pour impliquer tout le village dans une rocambolesquemise en scène hilarante. Une formidable comédie sur les racines, les croyances et le cinéma, entre documentaire et autofiction. Pour « Le Monde » ce film qui a reçu des prix du public auprès de plusieurs festivals du cinéma est un « miracle de cinéma ». Et « Le Temps » a écrit : « Une déclaration d'amour au cinéma. »S‘agit-il de voir ce à quoi nous croyons ou de croire en ce que nous voyons? Comme dit la mère de Namir: « Il y a des gens qui voient la vierge, il y a des gens qui ne la voient pas. Il y a peut-être un message dans tout ça. »

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Commentaires

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bustan

il y a 11 ans

Un réalisateur peu inspiré et désorganisé se lance sur un film sans tenir un véritable sujet. Il essaie par tous les moyens de le boucler en usant de tous les artifices et va jusqu?à appeler sa mère à la rescousse lorsqu?il se sent coincé.Cela donne un film un peu égocentrique qui part un peu dans tous les sens sans parvenir à approfondir quoi que ce soit. Encore heureux que le réalisateur ait une mère pittoresque, qui mette un peu de couleur dans tout ça.Voir plus


rosalex

il y a 11 ans

Excellent!


moviz

il y a 11 ans

De la vierge, en fin de compte, il est peu question. Mais le réalisateur se sert de son sujet habilement (et peut-être avec un peu de bol) pour parler de manière délicate de l'Egypte, de la famille, de l'exil et de la religion. Il offre aussi au passage un inside look sur la réalisation d'un documentaire à petit budget.
<br>Le film est parfois émouvant mais surtout vraiment assez drôle, ce qui doit beaucoup à la mère du réalisateur notamment.Voir plus


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