Un violoniste mondialement connu décide de mourir le jour où son instrument est cassé.

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Téheran, 1958. En dépit du fait d'être considéré comme le plus grand violoniste de tous les temps, Nasser Ali Khan (Mathieu Amlaric) a décidé de mourir, d'autant plus que son épouse et lui-même se cessent de s'entredéchirer, son violon a été détruit, et son amour de jeunesse qu'il n'a jamais oublié, fait mine de ne pas le reconnaître. Le musicine jadis heureux s'étend alord dans son lit afin d'attendre l'ange de la mort Azrael (Edouard Baer)...

En adaptant une fable pour le grand écran, Marjane Satrapi signe pour son 2e film une histoire d'amour autrement plus légère que Persepolis, qui lui a valu une renommée internationale, et dans laquelle elle évite toute allusion tragique à l'histoire récente de son pays, l'Iran. En outre, elle parsème cette biographie fictive pleine de fantaisie de détails animés.