Blessé et fuyant les troupes d'élite du gouvernement, Optimus Prime est découvert quelque part au Texas par un père de famille.

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Depuis que la ville de Chicago a été dévastée lors des événements de Transformers : La face cachée de la lune, le gouvernement américain traque sans répit les Autobots pour protégrer notre planète de toute menace robotique. Alors qu’une unité d’élite cherche la trace d’Optimus Prime, Cade Yeager, un père de famille texan, inventeur à ses heures perdues, découvre le célèbre Autobot blessé. Pourchassé avec sa fille et son petit ami par les autorités, il va vite comprendre qu’une nouvelle menace plane sur la Terre...

Le succès faramineux de la saga Transformers a non seulement redynamisé la carrière du producteur Michael Bay après la déconvenue de The Island, mais il a aussi nourri son ego. Avec 2h45, L’Age de l’extinction repousse les limites de la torture hollywoodienne avec un spectacle gras et sans saveur, bâti autour d’une histoire creuse et de personnages ridicules, servis par des dialogues imbuvables. L’amateur de blockbuster de destruction massive sera sans doute comblé par cette débauche absurde d’effets spéciaux et sonores, mais prions pour qu’une grande partie du public reste raisonnable.