Douleur et gloire Espagne 2019 – 113min.
Communiqué de presse
Douleur et gloire
Suite à l'invitation de la part de la cinémathèque à montrer son plus grand Film dans le cadre d'une rétrospective à Madrid, le réalisateur Salvador Mallo (Antonio Banderas) se trouve confronté à son passé. À travers une série de retrouvailles, il est submergé par les fragments de son existence qui lui reviennent en mémoire: l'amitié, l'amour, le deuil, la réconciliation. Et la douleur. Cette compagne qui lui permettait de grandir et d'avancer dans le passé et qui le retient et l'enferme aujourd'hui. Et le vide, l'insondable vide face à l'incapacité de continuer à tourner. La douleur et la gloire ou l'impossibilité de séparer création et vie privée...
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Commentaires
Ce film m'a touché tant par le jeu sensible d'Antonio Banderas, que par l'esthétique des couleurs très almadovienne. Nostalgie, bilan artistique et humain, tout cela sonne très authentique.
L’oeuf de la reprise
Almodovar, un titre. Ce dernier réussit avec brillance à nous conduire sur son chemin kaléidoscopique. Fulgurance blanche pour l’enfance, la caverne à la chaux, l’écran projecteur, rouge douloureux le trait qui scinde son corps scanné, le fond de son théâtre, la robe de sa mère. N’être que bleu pour s’élancer vers le rayonnement. Aléa, la vie conduit à travers les gravats vers l’écriture maîtrisée d’une vision élargie. Almodovar Pedro. Une signature qui s’efface pour donner naissance à un récit autonome. Douleur et gloire ou la réconciliation d’une identité mosaïque.… Voir plus
Dernière modification il y a 5 ans
J'aime le cinéma d'Almodovar et j'étais très heureux d'apprendre qu'il avait fait un nouveau film. Après 20 minutes je me suis dit que j'allais m'ennuyer. Banderas m'a fait rester mais je me suis vraiment ennuyé. Un film long avec beaucoup de blabla. Ce n'est de loin pas le meilleur film d'Almodovar. (G-30.05.19)… Voir plus
Dernière modification il y a 5 ans
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